Fermeture définitive de Influenza ! now this is not the end (bass) 1614057932 Un grand merci à tous pour ces moments de partage I love you
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 now this is not the end (bass)

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MessageSujet: now this is not the end (bass)   now this is not the end (bass) EmptyMer 16 Mai - 16:30


« it is not even the beginning of the end, but it is,
perhaps, the end of the beginning. »

La vie continue, c'est ce que les gens disent quand on a le moins envie de l'entendre. Une promesse autant qu'une menace, qu'on se murmure par habitude et sans y croire, jusqu'au jour où on la constate : la vie continue, même quand on aurait voulu le contraire, même quand on aurait voulu revenir en arrière. Danielle a essayé de se battre contre elle, contre cette voleuse d'instants et de souvenirs et elle a dû baisser les bras. Elle est heureuse avec cette décision maintenant ; elle peut vivre avec la certitude que quoiqu'il arrive, le temps ne s'arrêtera pas. C'est même ce sur quoi elle compte quand elle sent le sol se dérober sous ses pieds et ses genoux faiblir, quand elle sent autour d'elle le monde tourner. Quand elle enfile ses vêtements sombres pour faire le deuil de gens qu'elle ne connait pas, quand elle rassemble des fleurs pour les poser sur les tombes d'autres qu'elle n'a qu'à peine côtoyés. Quand elle arrive sur le pas de la porte de Bass Ferguson, de la maison endeuillée et pourtant heureusement silencieuse. Elle ne peut qu'imaginer le petit être qui y dort sans doute, à poings fermés, comme le font tous les bébés. Et elle ne peut qu'imaginer le visage fermé et douloureux de Bass, à qui incombe la responsabilité du nouveau né... Elle voudrait l'aider, Danielle, mais elle ne sait pas comment. Elle voudrait l'aider, parce qu'elle ne pourrait pas vivre avec elle-même si elle n'essayait pas, après tous les regards de travers qu'elle lui a adressés, et les histoires horribles qu'elle lui a imaginées. Elle lui avait été reconnaissante, de l'avoir amenée ici, avec ses sourires et sa bienveillance, mais ça n'avait pas tellement duré. Une sorte d'ombre, une ombre du passé, s'était glissée entre eux, avait fissuré leur amitié qui ne faisait qu'à peine commencer. Mais il ne pouvait pas être si mauvais qu'il ne méritât pas qu'on tente de le consoler...

Alors la jeune femme se tient sur le pas de la porte, ses phalanges délicates arrangées pour toquer doucement sur le panneau de bois. Elle ne voudrait pas faire trop de bruit ; elle ne prend jamais beaucoup de place dans l'espace sonore, de toutes manières. La jeune femme s'impatiente, mais elle commence à entendre les pas qui se dirigent vers elle, et c'est à leur rythme que son anxiété grimpe. Et si elle disait quelque chose de mal ? Et si elle n'était pas la bienvenue ? Un sourire timide et incertain se plante sur ses lèvres pâles et gercées par le virus.

La porte s'ouvre sur l'homme à la barbe, et Danielle est obligée de lever les yeux pour rencontrer son regard. Elle sourit, de ce même sourire qui a un peu peur. « Bonjour... » C'est le milieu de l'après-midi, c'est encore ce qui est de rigueur ; il fait beau, assez chaud et les couleurs tout autour de la maison sont riches et claires à la fois. Elle tend par la même occasion un panier qu'elle a confectionné : quelques pâtisseries et un repas à réchauffer, un petit pot de miel qui représente sans doute plus à ses yeux que tout le reste. Et il y a un petit pot en terre-cuite, volé on pourrait dire, à la serre de la ville, rempli de terre jusqu'à la moitié ; une petite pousse verte en dépasse, timide comme Danielle. « Je me demandais si tu me laisserais rentrer, » continue la jeune femme qui ne sait plus sur lequel de ses deux pieds s'appuyer. « J'espère que je ne dérange pas... » Ses pupilles fuient vers l'arrière plan, où elles ne discernent rien d'autre que les silhouettes des meubles de l'entrée.

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MessageSujet: Re: now this is not the end (bass)   now this is not the end (bass) EmptySam 2 Juin - 18:20


Now this is not the end
Dagni & Bass - mai

Il savait que cela arriverait un jour ou l’autre. On s’arrête, on cesse de courir, on s’attache. On souffre d’autres douleurs que le sang qui coule de sa tempe, les bleus dans sa cage thoracique et la faim qui tord l’estomac, la peur qui fait vomir les tripes. Des douleurs qui restent, indélébiles, qui vous font trembler chaque putain de jour et qui vous réveillent chaque nuit. Arriver à Olympia, il y a des années de cela, c’était mettre un pied dans une civilisation qu’il n’avait jamais vraiment connu. C’était risquer la voir s’écrouler, de voir l’Eden pourrit et se déchirer, c’était risquer de voir ceux qu’il aimait mourir - puisqu’ils existaient. Il ne pensait pas qu’Iris, la jeune femme si douce, qui l’avait aimé et qu’il s’était juré de protéger, qu’il avait pris entre toutes sous son aile, qu’il s’était échiné à faire sourire et à prendre comme protégée.. Elle ne sortait jamais de l’enceinte d’Olympia. Elle aurait dû être saine et sauve, elle aurait dû élever son fils, elle aurait dû s’épanouir sous le soleil d’Olympia et elle était morte ravagée de l’intérieur. Elle aurait dû être saine et sauve et l’aider lui à tenir à le coup, mais elle était morte et elle laissait Bass plus sauvage encore qu’auparavant.

Il ne pensait plus avoir cette responsabilité qu’il n’avait pas demandé d’avoir la gueule d’un modèle masculin; ni pour sa fratrie, ni pour le petit d’Iris, ce n’était pas sa place. Il avait déjà assez de mal à se gérer seul.  L’enfant pleure. Il pleure. Il n’a pas de nom à chuchoter pour le calmer, pas de poitrine maternelle contre laquelle se blottir, pas d’odeur de père à rêver pour se tenir chaud. Le bébé pleure et Bass est aussi terrifié que lui. Ce n’est pas son enfant, cela ne le sera jamais même par adoption, mais étrangement le petit métis de quelques semaines et l’homme à la barbe blonde longue d’autant de semaines éprouvent déjà certains points communs. La perte de repère, l’absence de famille, la confusion, le chagrin, la terreur, l’envie de pleurer, mais une poitrine explose des cris l’autre se serre et les étouffe.  Il ne peut pas le laisser. Il a assez déçu sa mère dans une autre vie.  Bass n’entend pas la porte d’abord. C’est Hagen, autre fantôme dont il a la charge à temps partiel qui s’agite et aboie derrière la porte. Où est Vladimir ? Vladimir ne répond pas à la porte et cela laisse Bass écouter l’agitation du berger allemand en se posant la question sans émotion :  Combien de fantômes va-t-il charrier dans ses pas à force de survivre ?

Les pas du colosse aux pieds résonnent dans la maison, traînent des pieds, semblent vouloir bouter l’envahisseur hors du funérarium qu’est devenu sa maison adoptive. Il ouvre la porte en grand sans le vouloir, trop de force dans son mouvement las et violent à la fois. Dagny est petite et menue, maladive, de l’autre côté de la porte, face au visage de Bass qui la toise de sa haute taille. Une nouvelle plaie qui se rouvre légèrement, qui suinte les regrets. Il est ce qu’il est. Il en a toujours connu de la honte, mais a toujours refusé de sentir le jugement des autres sur ses actes. Ils ne savent rien. Ni Danielle, ni Uzo, qu’ils aillent se faire foutre. Le visage du recruteur n’est pourtant pas fermé, ni hostile : douleur et chagrin, fatigue incommensurable, et aspects hirsutes, négligés, oui.

Lorsqu’il ouvre la porte, les cris de bébé et les geignements de chien se font entendre, provenant du fond de la maison. Le virus semble la ronger de l’intérieur et cela le prend de court. Ils sont tous en train de mourir. “- Si tu y tiens.” Murmure-il sans émotion, s’écartant d’un pas. Cela la forcera à passer à côté de lui, l’homme dont elle semble avoir peur, même si ce n’est pas un geste conscient de sa part. Elle a peur de lui. Elle a peur de lui depuis qu’elle sait sa honte et c’est une gifle en pleine figure encore une fois. Il y a de la peur et de l’incertitude dans ses yeux, lavés par l’immense fatigue aux iris clairs mais aux blancs rougis de sang, au milieu des cernes violacées et des cheveux un peu trop longs qui lui retombent sur le visage tirés, fatigué. Elle dérange. Elle dérange l’homme qui cherche à apaiser un nouveau-né, l’homme qui tente de vaincre ses démons, l’homme dont elle a supposé le pire. Elle dérange parce qu’elle dérange la terre dont il s’est servi pour étouffer l’espoir. Il s’en veut d’espérer en la regardant. Une réconciliation scellée dans un petit mot de miel. La vue de la pousse qui dépasse des mailles d’osier qu’il n’ose pas prendre en main lui donne envie de pleurer. Il en a marre d’espérer, tout ça pour voir les jeunes pousses piétinées en lui, noyées par le sang. L’idéaliste sarcastique devient cynique et méfiant.

Bass se mord l’intérieur de la joue jusqu’au sang. “- Pourquoi tu es revenue ? ”  A l’intérieur de la maison,il fait froid, il fait noir alors qu’on se passe de bougies et qu’à part la chambre d’enfants, les volets sont fermés, les portes barricadées. Vladimir et Jezabel ne doivent pas être là, ce n’est pas possible autrement. Le soleil de la porte n’a pas suffit à réveiller l’atmosphère et Bass jette un regard en coin à Dagny. Pas hostile. Interrogateur.

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MessageSujet: Re: now this is not the end (bass)   now this is not the end (bass) EmptyMer 13 Juin - 20:52


« it is not even the beginning of the end, but it is,
perhaps, the end of the beginning. »

La porte s'ouvre, Danielle sursaute. Et la seconde d'après, il n'y a pratiquement plus rien : Olympia s'est évanouie, a disparu, et Danielle aurait sûrement préféré avoir trouvé l'armoire qui mène à Narnia plutôt que la porte qui ramène à la réalité. Il fait sombre dans la maison de Bass Ferguson, comme il fait sombre dans sa tête. Danielle l'observe, dans ce rayon de clarté dont elle ne sait pas exactement la source mais qui les protège de l'obscurité qui a tout englouti. Et elle ne le reconnait pas... Pourtant elle voudrait, pourtant elle essaie, et peut-être qu'elle ne voit simplement pas clair, ou que ses yeux sont fatigués, mais il a l'air misérable et le cœur de la jeune femme se serre. « Bass... » commence la jeune femme, ridiculement petite en comparaison. Le prénom de l'homme tord ses lèvres comme il ne l'a jamais fait auparavant. C'est comme si elle le prononçait pour la première fois. Elle n'a pas prononcé son nom depuis longtemps, ce pourrait aussi bien être la première fois. « Je... » Ce n'est pas seulement son cœur qui se serre, c'est aussi sa gorge et l'étreinte de sa main sur la hanse du panier en osier. Elle a imaginé un script à cette conversation, avant de venir, ce qu'elle pourrait dire pour apaiser le géant, et elle regarde les sous-titres lui passer sous le nez sans les lire maintenant. Elle soupire, incapable de trouver une réponse à la seule question du recruteur. Il lui semble qu'elles sont toutes si maladroites qu'elles risqueraient de blesser Bass davantage, et il est déjà à terre.

Les pleurs du bébé et les plaintes du chien n'ont pas cessé, aussi lointains que proches, ils pleuvent sur les deux olympiens. « Tu as besoin d'aide ? » fait-elle, toujours aussi timide que lorsqu'elle était sur le pas de la porte. Et ça n'est pas tant une question qu'une constatation qu'un échappatoire à ce regard interrogateur qu'elle ne peut pas satisfaire. « Je suis là, maintenant, » l'olympienne murmure avant de ne glisser dans l'obscurité. Elle pose le panier sur la table qu'elle devine dans le noir, ou qu'elle sait se tenir là, des quelques fois où elle aussi se tenait dans cette maison, et se débarrasse du cardigan qu'elle a sur les épaules pour l'abandonner sur l'une des chaises. Et à partir de ce moment, ça ne lui prend que quelques secondes pour imposer sa présence. « Et je ne pars pas... » Le doute lui reste tout de même, et elle voudrait s'avancer vers la source de tous les bruits, mais elle ne veut pas laisser l'ombre de Bass seule, elle a peur qu'elle ne se dissolve dans la noirceur. « Même si tu me mets dehors, en fait, je ne partirai pas. Laisse-moi juste t'aider, s'il te plait. » C'est plus facile de faire que de dire, et les gestes n'ont pas la maladresse des mots, quoiqu'ils peuvent, eux aussi, être maladroits. Elle s'avance, Danielle, sans ses mots, juste ses gestes. Elle a cet air misérable, elle aussi, quand elle s'approche pour étreindre le grand brun à la barbe longue. Elle n'est pas sûre qu'on lui rende l'étreinte, mais ce n'est de toutes manières pas ce qu'elle attend. Elle donne, Danielle, elle se fiche de recevoir.
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MessageSujet: Re: now this is not the end (bass)   now this is not the end (bass) EmptyLun 25 Juin - 19:49


Now this is not the end
Dagni & Bass - mai

Bass prend trop de place, le dos voûté et le regard brûlant alors que la maison-même lui semble être trop grande. Trop vide, trop sombre, mais cela demande trop d’efforts à l’Olympien que de s’y soustraire, passée sa chambre réhabilitée en chambre d’enfant à mi-temps. C’est différent du désespoir qui l’avait englouti à la mort d’Elias (culpabilité, désarroi, honte, honte, honte, inutilité et les murs qui se refermaient sur lui.). Il n’aurait rien pu faire pour les sauver, pour la sauver, et il a trop à faire. Cela l’empêche d’être heureux, par intermittence. Entre les trous, il y a l’impression que tout cela, tout ce qu’il a voulu aider à bâtir et toutes les âmes égarées ramenées au bercail, cela ne sert à rien. Le vent qui hurle en lui ne pense plus à demain ; il est bien trop fort, et Bass ne lutte plus en vain. Les gestes sont mécaniques et la tête envahie des cris du nouveau-né. Le problème n’est pas tant le deuil ( le nouveau, le combientième ? ) que l’avenir. Il ne se rachètera jamais et la présence de Dagni en est l’exemple qui l’achève. Il pourrait bien élever Elie comme le meilleur des pères – le serait-il jamais ? Il a été un frère, et un mauvais frère. Et maintenant ? – cela ne servirait sans doute à rien. Œuvrer pour Olympia était sa rédemption comme mourir derrière des barreaux devait le racheter et le réinsérer dans la société. Mais cela ne serait jamais suffisant ? On n’efface jamais rien et les secondes chances sont des tortures.

Je suis là maintenant. Je suis là maintenant. Je suis là… maintenant. Les mots de Dagni tournent dans son esprit, gravés au fer rouge tandis qu’elle pose le panier sur la table et qu’il la laisse faire sans bouger, le bout d’une fesse appuyé sur une commode – vide, ils n’ont plus tellement de biens matériels à cacher aux yeux. Bass presse ses paumes devant ses yeux jusqu’à ce que les étincelles lumineuses apparaissent derrière ses paupières et que son trouble disparaît. La douleur devient plus lancinante. Combien de fois avait-il essayé de rattraper ses erreurs de parcours d’un je suis là maintenant, c’est maintenant que ça compte. Surprise : cela sonne aussi creux à entendre quand ça passait ses lèvres abîmées. « - J’aimerais te voir essayer. QU’est-ce que tu vas faire si je te soulèves et te mets… » Bass nargue, et il y a de la glace et du cynisme dans sa voix, mais il ne l’élève pas d’une seule octave. Qu’est-ce qu’elle allait faire, si elle le mettait dehors ? Tambouriner à la porte ? Attirer les regards des sages concitoyens sur sa baraque ? Commettre un crime ? Il murmure, il nargue et il provoque, sur la défensive – il sait comment l’innocence peut blesser un horrible bonhomme comme lui.
Mais il s’interrompt, coupé dans sa morsure par les bras autour de son torse. Bass reste surpris de l’étreinte. Surpris de la chevelure brune qui s’emmêle dans sa barbe et de l’audace de l’écureuil qui s’approche du vieux sanglier effrayé par le panache roux. Puis lentement, avec ses doigts calleux mais doux, il vient poser ses mains sur ses épaules. Il hésite, comme s’il s’apprêtait à la repousser avant de refermer leur étreinte sur elle. Fort à l’étouffer contre sa poitrine, l’étreinte d’ours qui l’enveloppe et la fait disparaître derrière ses bras. Il a mis des années à pardonner à Uzo, et il n’a jamais été aussi proche de Dagni que de son amie d’enfance – pourquoi l’une aurait le pardon facile ? Parce qu’ils vont tous mourir, bientôt.  « - Je ne t’ai jamais dit de partir. » il gronde, grondement qui sort de sa poitrine et les fait vibrer tous les deux. « - Tu es partie sur tes grands chevaux. »  Il renifle, et lentement, l’écarte de lui. Il baisse les yeux pour l’observer et le regard qui brille toujours trop lumineux est prudent et ses mâchoires un peu crispées sous la barbe hirsute. « - Si tu viens pour me sauver, je n’ai besoin ni de ton aide, ni de ta pitié. » Il renifle à nouveau, moqueur, clairement cette fois, et tourne les yeux vers les geignements de nouveau-né, de l’autre côté de la maison. Peut-être que Dagny est sincère, mais les martyrs, ceux qui veulent sauver les déchus dans son genre, il ne les aime pas. Il n’aimait pas les lettres reçues en prison, il n’aimait pas les prétendus visiteurs, et les psys, et … seul Elijah il a toléré son regard plein de compassion et ses paroles pleines de pardon. Pour quel prix. « - J’ai besoin d’aide oui. Mais pas de pitié ou de jugement pour l’homme que je suis. » Il se démerdait assez avec lui-même et il la provoque du regard, la défiant de partir et de claquer la porte.

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