Fermeture définitive de Influenza ! We Have Nothing To Fear 1614057932 Un grand merci à tous pour ces moments de partage I love you
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 We Have Nothing To Fear

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MessageSujet: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyMer 27 Déc - 19:51



Elsie x Thomas

« we have nothing to fear »


Le bruit courrait dans tous le camp et ça ne sentait pas vraiment bon pour le moment. Ceux ayant été vaccinés semblaient tous tomber malade à cause de ça. Ce n’était pas normal, il y avait quelque chose qui clochait, mais pour le moment, il n’y avait aucunes preuves, rien de tout cela. Il y avait juste des malades comme tant d’autres, mais le fait qu’ils soient tous vaccinés contre le virus zombie, semblait problématique et au caveau, après plusieurs gorgées de leurs tords boyaux, les langues se déliaient et Thomas entendait bien des choses, des rumeurs, des ragots. Néanmoins, les gens profitaient toujours autant de l’ambiance tamisée du coin et alors qu’il servait un récupérateur, il entendit un type et discuter avec une femme sur une diseuse de bonnes aventures. Un sourcil froncé, cela rappel amèrement à Thomas le fiasco intersidéral entre Elsie et lui alors que cette dernière était revenue vers lui après avoir été blessée.

Elle l’avait embrassé, il avait répondu, mais c’était rétracté de peur, de peur de tout foirer alors que ça faisait un moment qu’ils étaient compagnons de route. Elle l’avait mal pris, elle l’avait… très mal prit du fait qu’elle l’évitait depuis un certain temps déjà… depuis ce jour la même. Il l’avait croisé, plusieurs fois, mais elle avait pris la fuite et petite comme elle était et douée pour se faufiler partout, elle lui avait glissée entre les doigts. Il n’arrivait pas à la retrouver et franchement, il était temps de parler à cœur ouvert tous les deux. La fuite, ça allait deux minutes ! Alors quand il entendait parlait d’Elsie, alors il s’approchait et posant ses deux mains sur la table, il lança des éclairs avec ses yeux. « Ou est-ce qu’elle est Elsie en ce moment ? » Il est plutôt grognon le type et il en impose. On ne tarde pas à lui donner l’indication qu’il recherche et on le met tout de même en garde, apparemment, elle tousserait pas mal et serait bien malade.

La montagne grogne, il n’aime pas ça et ne tarde pas à les remercier et à quitter son poste. Il ne laisse pas trop le choix en vérité, il ne demande jamais rien, mais là, il est inquiet. Il remonte et sort à l’extérieur, filant vers l’endroit qu’on lui avait décrit. Il pleut comme pas possible dehors, mais il s’en fiche, si elle est malade, ça pue. Il arrive devant la porte, il se demande encore comment elle arrive à tenir, mais le coin semble assez solide. Il ne frappe pas, il n’appelle pas la jeune femme, telle une brute, il donne un coup de pied, enfonçant la porte qui claque contre le mur et qui est vite plaquée à ce dernier avec sa grosse main. « ELSIE ! » Il beugle, ce n’est pas bien grand, mais il voit rapidement la petite demoiselle sous une couche de tissus qui lui servait de couverture. Elle ne semblait pas à l’article de la mort, son cœur se desserra. « On m’a dit que tu étais malade. » Il s’approche d’elle, la toisa de toute sa hauteur. « Qu’est-ce que tu fiche ici ? Va te faire soigner ! » Ouai, il est comme ça ! « Ou viens me demander de l’aider bordel ! » Il n’est pas content, pas content du tout. « Même si tu m’esquive, même si tu m’en veux, j’veux pas que tu me cache ce genre de choses la oh ! » Il se penche et lui tire la joue comme si c’était un enfant. « J’ai pas dis que je voulais te perdre ok ? » On vient bien dans son regard une certaine inquiétude !

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyMar 9 Jan - 17:31



It's time to stop running away from things that are uncomfortable and hard. It's time to confront issues in your life.

+++

Le karma. Un concept auquel elle n’a toujours accordé que très peu d’importance jusqu’à présent. Pourtant, elle a bel et bien l’impression d’être dotée d’un karma pourri. Et encore, le terme pourri est assez faible. Elle soupire, lasse et fatiguée, étirant non sans un grognement ses muscles endoloris. Elle a la sensation que son corps n’est qu’un amas de courbatures. Pourtant, voilà un jour que la fièvre s’est dissipée, pour autant elle a l’impression que chaque geste, chaque mouvement, représentent un effort considérable. Alors que certains survivants tombent malade comme des mouches après avoir accepté de se faire vacciner, ce qu’elle juge complètement stupide d’ailleurs, il faut bien évidemment qu’elle se chope un virus quelconque incluant fièvre et vertiges. C’est complètement insensé, illogique. Résumons la situation actuelle : elle ne se porte pas volontaire pour la vaccination publique et pourtant, elle tombe malade, tout comme le reste de ces ploucs écervelés qui pensent sincèrement qu’on peut guérir l’Influenza à coup de vaccin. C’est vraiment un sacré manque de chance. À moins que ce ne soit le prix à payer pour son comportement pas franchement glorieux de ces dernières semaines. Elle a fui Bass, l’entièreté de sa famille d’ailleurs, maintenant elle fuit Thomas, peut-être qu’elle est sacrément lâche en fin de compte bien qu’elle s’obstine à prétendre le contraire. Elle ferme les yeux, rumine intérieurement tout en enfouissant ses bras sous l’amas de couvertures. En même temps, elle ne voit pas bien ce qu’elle pouvait adopter comme autre comportement vis-à-vis de Thomas. Elle l’a embrassé, il l’a repoussée, point barre, fin d’une amitié. Elle ne voit pas vraiment d’autres issues, à moins qu’elle ne veuille tout simplement pas ouvrir les yeux.

Entre somnolence et semi-conscience, elle sursaute alors qu’un bruit sourd suivit d’un beuglement incluant son prénom retentissent dans le petit habitacle. Elle n’a pas le temps de prendre appui sur ses coudes que la silhouette de Thomas trône déjà à ses cotés. Donc, c’est pour maintenant la confrontation. Elle constate rapidement l’inquiétude, l’agacement aussi, déformant ses traits. Surement qu’il n’est pas ravi de ce silence radio, encore moins qu’elle n’ait pas jugé bon de l’avertir de son état de santé. Elle le comprend. Elle se tait, l’écoute, tire la grimace tandis qu’il lui pince la joue. « Je vais bien. » D’accord, surement que son teint blafard ne joue pas en sa faveur ni même la faiblesse de son timbre de voix, mais elle va mieux en tout cas. « Ce n’est qu’un pauvre virus, je n’ai déjà plus de fièvre, j’ai pris les médicaments qu’on m’a donné lors de ma visite à Olympia la dernière fois. » Donc, pas de quoi se tracasser. Si elle le pouvait, elle disparaîtrait entièrement sous la pile de couvertures. Elle n’est pas encore prête à le revoir, à lui faire face. « Donc, il n’y a pas de quoi se faire du mouron, je n’avais pas besoin d’aide. » Elle est grande, majeure et vaccinée, elle sait prendre soin d’elle, enfin la plupart du temps du moins. Elle est presque certaine que Musclor n’est cependant pas de cet avis. « Tu ne vas pas me perdre mais il faut que tu partes, j’ai besoin de repos. » Elle n’est pas vraiment certaine de ce qu’elle vient tout juste de déclarer. Peut-être qu’ils se sont déjà perdus en réalité, de toute façon ils n’ont pas de machine à remonter dans le temps alors peu importe, ce sera toujours gênant désormais entre eux. Alors, l’esquive, ça lui semble encore être la meilleure solution, qu’il parte sans discuter et qu’elle reprenne son manège consistant à le fuir. C’est le plan, enfin c’était le plan, parce qu’elle est presque certaine qu’il ne compte pas se contenter d’un il faut que tu partes sans sourciller. C’est trop facile.

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyMer 17 Jan - 2:28



Elsie x Thomas

« we have nothing to fear »


Il n'aimait pas grand chose le Thomas. Il aimait pas mal de chose également, mais ce qu'il détestait, c'était d'être dans le flou, de ne pas être tenu au courant des malheurs de ceux qu'il aimait et qu'il appréciait. Apprendre que celle avec qui il avait affronté l'apocalypse était malade alors qu'actuellement, il y avait une épidémie, autant vous dire qu'il avait mal prit le fait de l'apprendre par une tierce personne au caveau. Il avait donc prit les devants, laissant de côté ce qui avait été fait pour chercher ou elle était en entrer tel un ouragan dans ce qu'on pouvait aujourd'hui appeler un « chez sois ». Autant dire que c'était pas bien cool, voir même misérable comme coin, mais c'était ainsi à présent, le luxe ? C'était d'avoir un toit au dessus de sa tête et une porte qui se ferme au cas ou. Certains vivaient encore dans une tante, c'est dire la misère de la situation actuelle, mais il y croyait : Ça pouvait changer ! La porte d'ou se trouvait la jeune femme ne tint pas bien longtemps à l'assaut de la montagne et la voir aussi pâle lui fit peur, mais apparemment, elle allait bien, elle allait mieux en tout cas. Il s'approche, lui fait ses petites remarques tout en lui tirant la joue histoire de lui montrer qu'il était vraiment inquiet.

Silencieux, il la regarda, sous ses couvertures de fortunes, elle lui demanda même de partir pour qu'elle se repose. Thomas soupir longuement, comme s'il allait partir maintenant ! Comme s'il allait la croire ! Il apposa sa main sur le front de la demoiselle histoire de voir si elle n'avait plus vraiment de fièvre et franchement il était septique la dessus. « Mouai... »  Ouai, il n'y croyait pas vraiment et le voilà qu'il déplace les couettes pour passer en dessous, rejoignant la jeune femme sous les couvertures pour lui montrer qu'il n'allait pas partir avant un moment. Ses grosses chaussures dégagent rapidement vers la porte. « J'vais quand même rester ici ce soir pour m'assurer que tu vas bien et pour qu'on parle. »  Ouai, c'était le moment de toute façon, elle n'avait plus le choix, elle ne pouvait plus fuir, la montagne était à ses côtés, pas totalement contre elle, mais en un instant il pouvait l'écraser en un instant si elle voulait prendre la fuite comme les semaines qui étaient passées. « Tu vas pas fuir ma présence jusqu'à ce que tu meurs de vieillesse hein ? »  Un petit quelque chose lui disait qu'elle pourrait tenter.

Il soupira. « Ne prend pas ce que j'ai dis comme un rejet de ta personne ou un truc dans le goût. Je ne m'y attendais absolument pas et notre petit jeu du chat et de la souris était franchement amusant. »  Ouai, ils se tournaient autour depuis un moment, l'un cherchant l'autre. « Pourtant on a jamais craqués, on a jamais tenté l'expérience et dieu sait que parfois, j'aurais bien aimé. »  Il attrapa en douceur la main de la demoiselle, calquant ses doigts à ceux de cette dernière. Elle était... minuscule à côté de sa main ! « J'veux pas que tu me fuis comme ça. Ou que tu crois que je veuille pas de toi de cette... manière. J'ai juste eu peur. Après tout ce qu'on a vécu, j'sais presque plus comment on arrive à faire avec les sentiments. »  Ouai, être sentimental dans le coin, c'est pas forcément le bon choix.

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyMer 24 Jan - 21:43



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Elsie est douée pour obtenir ce qu’elle souhaite, la plupart du temps du moins, mais quand il s’agit de Thomas, il se montre souvent bien plus persistant qu’elle. Elle a beau lui demander de vider les lieux, de la laisser respirer encore un peu – bien qu’elle ait déjà eu tout le temps pour ce faire -, il n’est pas de cet avis, contournant ses propos et s’insinuant sous le monticule de couvertures. Elle pousse un râle d’agacement tandis qu’il lui fait très nettement comprendre qu’elle n’a pas le choix, que ce soit par les gestes ou par les mots, il est très clair. Elle n’a pas envie de le regarder, de croiser ses prunelles claires, elle est à la fois trop honteuse, irritée et fatiguée pour soutenir ces dernières et s’expliquer avec le géant désormais installé dans son semblant de lit.  C’est au-dessus de ses forces. Elle garde ses lèvres closes, se murant dans un certain mutisme qui tôt ou tard éclatera suite à l’insistance de Thomas. Oui, elle aurait très bien pu l’éviter jusqu’à ce que les rides, signes du temps, déforment ses traits, ou même jusqu’à la mort, qui sait. Elsie est du genre coriace ainsi qu’on ne peut plus tenace, Bass, son aîné, pourra le confirmer sans aucun souci. Elle a pertinemment conscience qu’elle n’a pas franchement le droit de l’éviter de la sorte, de le fuir, mais c’est plus fort qu’elle. Pourtant elle reconnait ses torts, elle n’aurait pas dû céder à ses pulsions, l’embrasser, elle aurait dû se contenter encore de leurs petits jeux. Ils n’auraient jamais dû sauter le pas. De toute façon, la jeune femme n’est pas du genre romantique, elle ne sait pas franchement ce qu’elle cherchait en se rapprochant de Thomas, mais l’amour, les relations de couple et ce genre de connerie n’ont jamais été dans ses cordes. Elle n’est pas faite pour cela, encore moins depuis le réveil des morts. Enfin, c’est ce à quoi elle se raccroche.

Elle pousse un râle de mécontentement et d’impuissance tandis que Musclor aborde le sujet épineux, la pente glissante de leur relation. Non, elle ne veut pas, non. Elle aimerait pouvoir se boucher les oreilles. Les lèvres pincées, elle l’écoute non sans se laisser envahir par une certaine culpabilité, elle ne rechigne pas alors qu’il s’empare de sa main. Elle se concentre d’ailleurs sur le geste, le contact, y ancrant ses iris, c’est bien plus facile que de le regarder lui. Elle ne sait pas franchement quoi dire ou quoi faire. D’un côté, elle est soulagée, peut-être un peu flattée, de savoir qu’à ses yeux elle n’est pas repoussante, c’est déjà ça de pris. De l’autre, le savoir tout aussi paumé qu’elle ne la rassure pas vraiment. Elle a la sensation qu’ils sont deux incapables qui foncent droit dans le mur. Les sentiments, elle ne sait pas quoi en faire non plus. Elle aimerait les ranger quelque part, les caser dans un coin de son esprit et ne plus y songer. Leur problème serait dès lors réglé. Mais, ce n’est pas aussi simple, rien n’est simple dans cette vie de merde. « Qu’est-ce que tu veux que je fasse d’autre si ce n’est prendre la fuite ? » La question n’attend pas réellement de réponse. C’est son mode de fonctionnement à Elsie, la fuite, prendre ses jambes à son cou, elle est formatée de cette façon. « J’aimerais qu’on oublie cette histoire. » Ou pas, elle n’en sait trop rien. Mais, qu’est-ce qu’elle peut bien dire d’autre ? Elle ne sait pas vraiment ce qu’il veut ou même ce qu’elle souhaite. Alors, c’est franchement mal barré. « T’es paumé, je suis paumée, ça fait de nous deux paumés réunis, on n’ira pas loin. » Autant faire comme si de rien n’était plutôt. Question de facilité. Elle n’a pas l’impression qu’ils soient vraiment prêts à s’engager dans une histoire de toute évidence. À moins que ce ne soit du défaitisme pur et dur, pourtant Elsie a toujours été d’un naturel optimiste. « De toute façon, les sentiments, ce n’est pas franchement d’actualité désormais, autant se concentrer sur les morts et notre survie. » Le reste est superflu, n’est-ce-pas ? Pourquoi s’attacher au risque de tout perdre ? Enfin, c’est déjà trop tard, qu’ils passent un cap ou non dans leur relation, Elsie sera toujours irrémédiablement attachée à Thomas, ils ont bravé l’Influenza ensemble.

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyVen 26 Jan - 20:08



Elsie x Thomas

« we have nothing to fear »


La jeune femme n'est jamais contente de toute façon, Thomas c'est fait une raison avec elle ! Râler, râler, râler et pour finir, une petite couche de râlage histoire de montrer qui elle est : Elsie ! Ca ne dérangeait plus vraiment la montagne, il avait l'habitude de la voir soupirer, monter les yeux au ciel ou encore tout un tas de choses dans le genre, elle était une gamine à sa façon et c'était ainsi qu'elle vivait sa vie. Qui était-il pour lui dire quoi faire hein ? De toute façon, vu tout ce qui était arrivé entres eux, il pouvait comprendre son penchant pour la fuite vers l'arrière histoire de ne plus retrouver la trace de Thomas, dommage, il était à présent dans son abris de fortune. Elle était la, pas si malade que ce qu'on pouvait dire et c'était tant mieux, il se sentait plus serein, mais néanmoins il fallait parler et elle lui avoua qu'elle n'avait rien trouvé d'autre que de fuir la situation gênante, désireuse d'oublier ce qui était arrivé. « Moi pas vraiment. » Pas vraiment du tout même, mais il fallait bien qu'ils en parlent, qu'ils mettent les choses au clair et à plat.

Un sourire apparu sur le visage de Thomas qui était tout aussi paumé qu'elle et elle le fit remarqué. Oui, ils étaient dans la merde, en un sens. Si les sentiments commençaient à véritablement faire surface, alors pouvaient ils tout aussi facilement les refouler et repartir comme avant comme si de rien n'était ? Absolument pas. Elsie prenait la fuite, Thomas avait des remords, ça ne pouvait marcher. « Nous avons la chance pour le moment d'être dans un endroit plutôt safe. J'aimerais que ça reste ainsi, mais on sait tous les deux qu'on a toujours un couteau sous la gorge, une morte naturelle, un début d'épidémie, un ouragan, tout pourrait foutre le camp en un instant. » Tenant toujours la main de la jeune femme, toujours sous les couettes avec elle, il porte son regard dans celui de cette dernière. Sa main libre vint caresser la joue de la brune. « Les sentiments sont ce qui nous rend humain justement, je ne veux pas laisser ça derrière nous. Tu as ouvert la boite de pandore en un sens, mais pourquoi ne justement pas... tenter quelque chose maintenant que tu as craqué pour ma belle gueule ? » Oui, il ne peut s'empêcher de lâcher quelques pointes d'humour.

Il se penche, et tout comme elle plusieurs jours plus tôt, il l'embrasse, timidement, sans prétentions, sans pousser, puis se recule de quelques centimètres, frissonnant après un tel contact. « Je ne sais pas ce que ça donne les sentiments, mais on pourrait être les précurseurs des sentiments dans l'Influenza, couple 2.0 avec le barman armoire à glace et la gamine emmerdeuse. » Il riconne. « Personne ne l'aura vu venir celle la. »

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyMer 31 Jan - 18:16



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Il ne regrette pas, pas vraiment, ça lui procure un bien fou de l’entendre de vive voix. Pourtant, elle, elle n’est pas certaine de ne pas regretter. Est-ce que c’est le moment de s’attacher plus que de raison ? La réponse est plus que probablement un non catégorique. Trop risqué, voilà ce que c’est. C’est plutôt ironique en sachant qu’Elsie s’est toujours fait un point d’honneur à se rire du danger et à prendre des risques parfois inconsidérés pour sa propre survie. C’est d’ailleurs de cette façon qu’elle a rencontré Musclor, en prenant le risque de voler ce dernier.  Là, en l’occurrence, sa vie n’est pas en jeu, mais pour ce qui est des sentiments c’est totalement autre chose. Elle en a plus qu’assez de se poser mille et une questions. Mais, ils ne peuvent tout simplement pas sauter le pas sans penser aux conséquences. Peut-être que ça ne va pas fonctionner, peut-être qu’ils ne sont pas compatibles, peut-être qu’ils foncent tout droit dans le mur comme deux idiots. Enfin, le bon côté, c’est qu’ils se sentiront tous les deux cons, ils sont dans le même bateau.
Ce qui est certain en tout cas, c’est que Thomas n’est pas le moins du monde rassurant. Peut-être que lui rappeler que la mort guette n’est pas le meilleur moyen qu’il existe afin de la convaincre de revenir sur sa position. Maladie, rôdeurs, catastrophes naturelles, êtres humains malintentionnés, etc. La liste est vraiment longue. Elle n’a pas envie de se lancer, de toucher du bout des doigts un semblant de bonheur dans ce monde de merde pour qu’ensuite il lui soit enlevé. Elle ne sait pas si elle pourrait le supporter. Elle soupire, elle n’est décidément pas prête pour le grand saut. Pourtant, il ne peut s’empêcher de lui remémorer que c’est elle et personne d’autre qui a ouvert la fameuse boite de pandore comme il le prétend si bien. Il a raison, elle a amorcé le fameux grand saut. Elle frissonne au contact de ses doigts contre sa joue tout comme elle ne peut s’empêcher de rouler des yeux alors qu’il évoque sa belle gueule, elle doit bien admettre que son physique n’y est pas pour rien dans ce dérapage, mais c’est surtout leur complicité qui compte. Enfin, de toute manière, peu importe les raisons qui l’ont poussées à l’embrasser, elle n’a pas l’intention de faire le second pas.

Elle garde le silence, ne répond pas tout de suite, songe à son petit discours. Elle fait le tri dans sa tête, réfléchi aux arguments qu’elle compte lui balancer sous le nez, agence l’ordre de ses idées. Elle est prête à rétorquer, à aller à contre son sens, quand il se décide à détruire toutes les barrières ou en l’occurrence ici les arguments qu’elle a bien pu ériger. Il scelle leurs lèvres, timidement, sans empressement, et elle ne peut s’empêcher de se prêter au jeu, de répondre à ce dernier les paupières closes et les paumes glissant le long de ses bras. « Précurseurs des sentiments, ça me fout beaucoup trop la pression. » C’est bizarre, elle sent à la fois gênée, exaltée et terrifiée. Elle n’est pas souvent confrontée à ce savant mélange de sentiments contradictoires. Oui, elle est en parfaite contradiction avec elle-même. « Je vois que ton discours est bien rodé en tout cas. » Même si elle est presque certaine qu’il n’avait rien préparé, il est plutôt difficile de contre argumenter face à Thomas. « Comme tu l’as si bien dit, on risque de notre vie chaque jour, tout le temps. Alors, justement même si les sentiments nous rendent humains on devrait plutôt essayer de s’en détacher si on veut… » Elle est décontenancée, il la fixe de ses prunelles intenses et elle se perd dans son propre discours. « Tu sais, ce n’est pas franchement évident de tenter de contre argumenter avec toi, penché au-dessus moi, à quelques centimètres de mon visage et de surcroît en train de me fixer ! » Ou alors, c’est tout simplement que sa contre-argumentation ne tient pas la route même si elle ne veut pas l’admettre. Un instant, un très bref instant, elle tente de repousser l’armoire à glace sans que celui-ci ne semble bouger d’un millimètre. Elle soupire, à moitié vaincue. « Ce n’est pas du jeu, tu me prends en traître. » C’est certain que ça lui aurait été vachement plus facile de lui tenir tête avec une table ou n’importe quoi placé entre eux. Mais non, il a fallu qu’il s’incruste dans son lit de fortune, ce n’est pas très fairplay si vous voulez son avis.

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyVen 2 Fév - 22:18



Elsie x Thomas

« we have nothing to fear »


Il avait fait son exposé à Elsie, son plaidoyer, son argumentation en plusieurs points. S'il n'y avait pas eu le chaos et la fin du monde, il aurait très bien pu faire une présentation powerpoint en plusieurs chapitre pour montrer au combien ça pouvait être con de se laisser aller à de tels sentiments, mais aussi le grand nombre de points positifs que ça pouvait apporter. Oui, il avait prit les devants, il avait cette fois ci fait le premier pas. Elsie avait ouvert les hostilités et ça avait donné une situation plus que complexe qui avait fait réfléchir Thomas pendant de longues heures depuis. A présent il avait une réponse au baiser qu'elle lui avait ouvert. Il avait une réponse à donner sur ses sentiments. Il rigola à la réponse. « Une bonne pression t'inquiète. » C'était pas la pression qui faisait perdre tous ses moyens non, c'était autre chose, quelque chose qui poussait et qui poussa Thomas a avouer ses sentiments à lui aussi.

L'embrasser en retour, quelques semaines plus tard. Elle accepta un tel contact, l'appréciant sûrement autant que lui. La demoiselle tenta d'argumenter, tenta de trouver des parades à l'attaque frontal de Thomas qui était sur elle, qui la dévorait des yeux, oui, elle pouvait parler, mais elle cessa un instant, tentant de le repousser dans y parvenir et dire que ce n'était pas du jeu que de la prendre en traître de cette façon. « Oh ? Alors échangeons les places... » Il roule sur le côté et en forçant légèrement, fait glisser la petite brune sur lui, sans jamais la quitter du regard. « Et pour te répondre … non, justement. Si nous voulons garder notre humanité alors il faut continuer à espérer, à vivre, à aimer. » Il ne la lâche pas du regard, sa main s'aventurant dans le cou de la jeune femme pour le caresser du bout des doigts. « C'est une motivation de plus pour continuer à vivre, à survivre, à lutter pour l'autre. » S'ils avaient quelqu'un qui comptait à leur côté, alors ils feraient en sorte de survivre.

« Puis bon, on se cherche depuis trop longtemps aussi. Tu m'allumais tellement que les gens pensaient voir un phare ! Cherche pas... Fallait bien que je tombe finalement sous le charme d'une gamine aussi grande que Gimly et avec un caractère bien trempé ! Histoire d’alimenter nos soirées... » Il rigole de ses bêtises, il a le cœur plus léger maintenant qu'ils ont parlé ou plutôt que lui a parlé. « M'enfin... si ça ce trouve, une fois qu'on aura couché ensemble, ca va me dégoûter ? Mon dieu, j'pourrais te casser en deux en plus... » Il met sa main devant la bouche, comme s'il était choqué par ce qui pourrais arriver... M'enfin Thomas ! Puis sans surprise, il dérobe un baiser à Elsie en se redressant rapidement, un regard de défis dans les yeux.

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyMer 7 Fév - 23:11



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Parfois – souvent en réalité – elle a l’impression d’être un pantin dans les bras du géant qu’est Thomas. En même temps, c’est surement le cas. Elle se laisse faire sans sourciller tandis qu’il gigote dans le but d’inverser leur position. Désormais au-dessus, les jambes de part et d’autre du buste du barman, elle sourit pleinement, plutôt satisfaite. « Je pensais qu’on était déjà en train de lutter pour l’autre. » C’est ce qu’elle fait depuis le début, depuis leur rencontre, encore plus depuis qu’elle a commencé à éprouver des sentiments (loin de la simple amitié sans ambiguïté) vis-à-vis de la Montagne. Elle a longtemps gardé ses sentiments pour elle, préférant les enfouir, jouer au chat et à la souris. C’était l’option de facilité, ça ne lui demandait pas de se mouiller, de s’impliquer plus que de raison. Maintenant que c’est plus ou moins officiel, elle est à la fois complètement effrayée mais aussi incroyablement soulagée. Elle n’en pouvait plus de tout enfouir au fond d’elle, de se demander si ce qu’elle ressentait était bel et bien réciproque ou non. Au moins, maintenant, elle est fixée. Un frisson lui parcourt l’échine alors qu’il glisse ses doigts le long de sa nuque. Elle doit bien reconnaître l’effet déconcertant qu’il a sur elle. « Mais, d’accord, tu as gagné. » Elle veut bien baisser sa garder, leur accorder une chance, propulser leur relation au grand jour. Et puis, si ce n’est pas elle, elle a bien trop peur qu’il aille se réconforter dans les bras d’une autre, alors autant sauter le cap dès à présent.

Elle roule des yeux sous l’influence des conneries que Thomas peut bien débiter. Il est incroyable quand il s’y met, à se demander comment elle arrive à le supporter tous les jours. « Moi, je t’allumais ? » Elle hausse un sourcil perplexe. D’accord, elle n’est pas entièrement innocente, elle reconnait ses regards et sourires en coin, sans parler de sa manie à le chercher, mais c’est lui qui s’est toujours évertué à se montrer tactile envers elle. « Je te signale que ce n’est pas moi qui passais mon temps à toucher tes fesses et chercher le contact physique. » Bien qu’elle ne s’en plaignait aucunement. Elle a toujours apprécié leurs petits jeux. Et, elle était loin d’être répugnée à l’idée qu’il pose ses mains sur elle. Elle est d’ailleurs presque certaine de passer d’un teint blanchâtre à un joli rouge pivoine tandis qu’il évoque la possibilité de la casser pendant l’acte. Elle n’a pas le temps de rétorquer qu’il se redresse déjà s’empressant à nouveau de sceller leurs lèvres. Farouche, elle le repousse légèrement, rompant le contact. « Alors, pour me casser je te signale qu’il faudrait déjà que je sois d’accord sur le fait que tu m’ôtes mes vêtements. » Les paumes contre son torse, elle l’oblige à se recoucher, bien décidée à le chercher. « Ensuite, je suis malade alors arrête de t’évertuer à vouloir échanger tes fluides avec moi. » Elle a envie de le faire mariner tout à coup. Une sorte de petite vengeance peut-être, une mini vengeance vouée à lui faire payer le fait qu’il l’ait repoussé il y a plusieurs semaines. « En plus, tu n’arrêtes pas de te vanter, mais je suis persuadée que tu surestimes tes talents concernant le plan sexuel. » Enfin ça, elle en est moins sûre. Elle doit bien avouer avoir un peu peur de franchir cette étape avec lui, pas par manque d’envie, elle ne sait pas vraiment l’expliquer. Pourtant, elle n’a jamais eu aucun souci avec le sexe. Mais, il faut dire qu’une fois cette étape franchie, il n’y aura plus du tout de retour possible pour eux, il y aura toujours de l'ambiguïté. « Tu sais, comme dit l’adage, ce sont ceux qui en parlent le plus qui en font le moins. » Elle hausse les épaules, bat des cils, prenant ses airs innocents. Peut-être qu’elle cherche un peu trop.

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyJeu 8 Fév - 18:06



Elsie x Thomas

« we have nothing to fear »


Ils avaient enfin craqués, l'un pour l'autre. Elle avait tenté une première fois, mais il l'avait repoussé, sombre crétin qu'il était, mais maintenant, il avait réparé son erreur et ne voulait plus aller en arrière, il voulait aller de l'avant et profiter de la vie, de cette vie qui n'en était plus une comme dans le temps, mais qui était pourtant la leur. Elsie était d'accord, d'accord pour qu'ils se laissent aller à quelque chose d'autre, à des sentiments qui n'avaient plus vraiment leur place ici. L'amour pouvait être une très bonne chose pour certains, c'était indéniable, mais ça pouvait aussi en affaiblir d'autres, les empêcher d'évoluer dans ce monde peuplé de dangers. Ils prenaient ce risque et Thomas était aussi heureux que terrifié, mais il voulait en avoir le cœur net. Il voulait se jeter dans cette aventure à corps perdu, sa vie était belle ici, il avait une place, un but, maintenant, il fallait construire quelque chose tout autour et Elsie en ferait partie.

La petite demoiselle ne se rendait elle pas compte combien elle l'avait allumé, ou tenté de le faire craquer au fil des années ? Si, c'était obligé et ça le fit rire de voir qu'elle n'avouait pas ses fautes. Elle contre attaqua sur le fait que Thomas lui, lui touchait les fesses et cherchait le contact physique tout le temps. « Que veux tu ! Je suis quelqu'un de tactile et je trouve que ma main englobe à la perfection tes sublimes petites fesses. » Comme pour lui démontrer, il laisse ses mains se glisser jusqu'aux fesses de la brune avec un sourire amusé. C'était vrai que ça matchait plutôt pas mal à ce niveau la ! Jouant de nouveau avec elle, sur les mots comme avec ses lèvres, il se laisse repousser par la brune qui a quelques arguments sur le fait qu'il ne pourrait la casser en deux comme dit que si elle le désirait et si elle voulait bien retirer ses vêtements au vu de sa maladie. Elle avait la langue bien pendue la petite malade et franchement, il voyait bien qu'elle le cherchait, encore et toujours.

« Oh... tu sais, il n'y a que la chaleur corporelle qui pourrait te faire du bien si tu as froid... tu sais, peau contre peau, rien de tel pour ne pas avoir froid. » Sourire amusé, il prend note sur le fait de ne pas trop s'intoxiquer et devenir malade en l'embrassant, mais c'est plus fort que lui en un sens. Maintenant qu'il y a goûté, il ne sait pas s'il pourrait s'en passer. « Je te dirais, qu'il n'y a qu'une seule façon de prouver mes dires. » Ses mains glissèrent le long des cuisses d'Elsie, passant sous ses hauts, ses mains chaudes contre le ventre et les hanches de cette dernière, il était vrai qu'elle était fraîche la pauvre ! Ses mains remontent gentiment, sans pour autant toucher cette poitrine qui l'avait toujours aguiché, mais ne cesse de la caresser, la faire frémir. Attendant le bon moment, la ou elle était la moins sur ses gardes et le voilà qui se redresse, dégageant une de ses mains pour s'emparer du cou de la demoiselle avec ses lèvres et ses dents, sa main libre dans la nuque de cette dernière pour l'empêcher de fuir ce qui l'attendait. Il remonte sa bouche jusqu'à l'oreille d'Elsie, un sourire satisfait camouflé. « J'en ai rêvé, de cet instant, tu le sais? De te faire frémir comme ça. » Puis, ses dents se referment sur le lobe de l'oreille, avant de repartir s'amuser dans cette zone érogène qu'est le cou...

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyJeu 15 Fév - 23:09



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Peau contre peau. Elle roule des yeux, faussement désabusée par les paroles de Musclor. En réalité, elle bouillonne intérieurement rien qu’à cette idée. Mais, Elsie ne compte pas lui démontrer son enthousiasme vis-à-vis de cette proposition indécente, pas intentionnellement, bien qu’elle ait totalement conscience que son propre corps ne fait autre que la trahir depuis… Toujours. L’attirance entre eux ne date pas d’hier, elle s’est même renforcée avec le temps jusqu’à en devenir insoutenable. Et, maintenant, ils perdent enfin la raison, ils ne sont plus capables de freiner leurs pulsions. Pour autant, la demoiselle s’entêtera sans cesse à lui opposer résistance, c’est sa marque de fabrication. « Mon amas de couverture me suffit. » Qu’elle lâche finalement, la voix presque convaincante, presque. Soit il ne veut pas l’écouter, soit il n’est pas dupe, à moins que ce ne soit un savant mélange des deux. En tout cas, il ignore royalement ses tirades visant à le rembarrer. Et, peut-être que ça ne lui déplaît pas tant que ça, pas du tout, même si elle conserve ostensiblement son air revêche. Elle ne le quitte pas du regard, pas une seconde, tandis qu’il s’évertue à parcourir son corps, glissant ses paumes chaudes contre son ventre, contournant volontairement sa poitrine qui n’est d’ailleurs pas ravie de cet affront. Elle tente de conserver son visage impassible et téméraire histoire de préserver les apparences puisque son traître de corps contre ses dires. Entre la chair de poule on ne peut plus visible, l’envie grandissante lui contractant l’estomac et le souffle haletant, tout trahi en elle son désir insatiable pour Thomas. Fait chier, qu’elle jure mentalement. Elle se sent impatiente, exaltée, fragile et complètement exposée. Elle ne sait pas vraiment si elle apprécie cette boule d’émotions contradictoires. En tout cas, son compagnon saisit cet instant de trouble. Elle a baissé sa garde, Elsie, elle est prise à son piège. La Montagne se relève vivement, l’emprisonnant dans un étau brûlant de désir. Presque machinalement, elle penche la tête en arrière, lui offrant son cou, l’incitant à parcourir ce dernier tandis qu’il l’empêche de se soustraire à son emprise, une main enserrant sa nuque. Elle grogne face à cette démonstration de supériorité physique et de dominance. Mais dans le fond, elle ne peut nier l’effet qu’il produit sur elle. « Tu sais, Musclor, d’autres m’ont déjà fait frémir beaucoup plus intensément que toi. » Ou pas. Pure provocation. Elle se crispe un peu plus sous les caresses de son assaillant, pressant lascivement ses cuisses contre les hanches de ce dernier, souhaitant remédier à la moindre distance les séparant. Des actes en totale contradiction avec ses mots. Pour une fois, elle s’en fiche. Elle glisse ses doigts le long de son dos, plantant ci et là ses ongles au gré de son bon plaisir, agrippant la tignasse du barman dans l’espoir qu’il daigne la lâcher. De fait, il lui accorde un peu d’espace, un peu seulement. En un geste, elle se départit de son t-shirt, se livrant sans condition, pour autant elle ne lui laisse pas le temps de profiter de la vue qu’elle fond déjà sur lui, se débarrassant du haut de Thomas. Peau contre peau, hein ? Elle ne peut nier cette chaleur dans le creux de ses reins, les fourmillements animant son bas-ventre. Elle plaque sa bouche contre la sienne, sa langue s’invitant, approfondissant leur baiser. Les lèvres se détachent pour mieux redécouvrir l’arête de la mâchoire, le cou, la clavicule. Elle mordille l’épaule, souffle contre la peau, se cambre à la moindre caresse alors que ses doigts aguicheurs effleurent le tissu du pantalon, titillant la virilité. Il a envie d’elle, rien n’est plus sûr. « Trop de vêtements. » qu’elle grogne finalement dans l’espoir qu’il l’aide à virer tous ces bouts de tissus contraignants. Elle en veut plus. Elle veut qu’il la fasse frissonner toujours plus, elle veut parcourir la moindre parcelle de sa peau, qu’il découvre l’entièreté de son corps. Elle veut le sentir en elle, être sienne. Elle n’a plus peur.  

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyJeu 22 Fév - 3:47



Elsie x Thomas

« we have nothing to fear »


La petite demoiselle ne cesse pas de résister, même si elle cède du terrain, même si le corps de cette dernière la trahit, elle ne lâche rien, elle se se laisse pas abattre devant la montagne de muscle que pouvait représenter Thomas. Elle s'offre à lui, elle lui offre son cou en penchant la tête en arrière, s'amusant de cette situation, plongeant son visage, ses lèvres, ses dents dans une envie qu'il ne pouvait rassasier. Même les walkers ne pouvaient autant avoir envie d'une chose, autant que Thomas en cet instant. Un sourire barre le visage de musclor lorsqu'elle lui lance une nouvelle pique, elle est joueuse, mais surtout provocatrice. Il la connaît, elle le connaît, ça ne peut engendrer que plus de provocations ce genre d'affaires et Thomas se sent particulièrement joueur.  « Voilà un défis que je ne peux que relever... »  Oh que oui. D'autres l'avait faite frémir plus que lui ? Sûrement, la jalousie n'était pas un trait de caractère de Thomas, mais la, il voulait être meilleur. Il voulait être LE meilleur pour Elsie.

Le tout prend une vitesse plus rapide, plus intense et déjà quelques morceaux de tissus virent, le haut de la demoiselle, celui de Thomas, se coulant de nouveau l'un à l'autre, frissonnant lorsqu'il sentait les ongles de sa belle contre sa peau, dans sa peau lorsqu'elle venait à le griffer de plaisir. Il profite, s’enivre, se délecte de cette femme qui l'a trop souvent mit dans tous ses états, des meilleurs comme les pires, de la joie, de la tristesse, mais aujourd'hui, c'était bien différent, tout était différent sous toutes ces petites couvertures qui camouflaient cette étreinte de chaleur. La demande de la jeune femme ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd, si on peut appeler ça une demande. Néanmoins, la ceinture de Thomas saute rapidement, tout comme le reste de son jean et caleçon qui sont envoyés quelque part dans le coin, il s'en fichait, son esprit était comme... concentré sur autre chose.

Ses lèvres ne tardent pas à se séparer de celles d'Elsie, descend dans le cou de cette dernière, puis plus bas, descendant, déposant des baiser, mordant la peau fraîche de cette dernière. Il s'attarde un instant sur sa poitrine, s'occupant d'elle comme il aurait du le faire quelques instants plus tôt. Puis il continue cette descente, les mains de Thomas firent descendre le jean de la brune sur ses jambes, mais ce furent les dents de l'homme qui s'occupèrent de la dernière barrière de tissus et tout comme l'homme, la femme se retrouva dans son plus simple appareil, mais la montagne avait de la suite dans les idées,, il remonta le long des jambes de la belle, écartant une cuisse pour que ses dents puissent mordre cette peau  si tendre, si précieuse, pour que finalement, ce soit sa langue qui, timidement fit son office sur les petites lèvres d'Elsie, une rencontre tardive, mais qui était toute aussi efficace et intense qu'il ne l'aurait imaginé. C'est ainsi que Thomas s'aventura en une contrée qu'il désirait conquérir, prendre par la force des choses, jusqu'à ce qu'elle cède et supplie pour qu'il cesse ses assauts.

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyDim 25 Fév - 19:55



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Le point positif avec Thomas est probablement qu’il réagit délicieusement à la moindre de ses provocations. C’est un peu leur façon de fonctionner, ils se cherchent, s’esquivent, se lancent de piques, se provoquent jusqu’à ce que l’un ou l’autre cesse. Il faut croire que ce schéma est également valable quand il s’agit de sexe. Elle n’est pas vraiment surprise. Ils ont toujours eu ce besoin presque primaire de jouer à qui est le plus fort, de se prouver qu’ils ne renoncent pas, en l’occurrence qu’ils ne renoncent pas l’un à l’autre. Il n’y a jamais vraiment de perdant dans l’histoire, parce que le simple fait de céder leur permet d’accéder à une douce récompense. La ceinture de Musclor saute, le pantalon s’envole et elle ne peut qu’admirer l’être tout en muscles juste sous ses yeux. Elle le dévore de ses prunelles envieuses, ne se gêne pas le moins du monde. Elle pourrait se montrer intimidée, mais disons qu’elle est plutôt sur le point de se consumer de désir pour lui. Elle prend soudainement conscience à quel point elle l’a toujours désiré, et surtout à quel point elle enfouissait cette attirance tout on fond d’elle, la cachant au reste du monde et même à elle-même. Peut-être qu’elle regrette de ne pas avoir cédé plus tôt, mais elle compte bien rattraper les occasions perdues.

Finalement, même pas à regret, elle laisse Thomas reprendre le peu de contrôle qu’elle venait tout juste d’acquérir, lui cédant ce dernier sous l’insistance de ses caresses. Il explore son corps du bout des doigts, des lèvres, taquinant ce dernier à l’aide de ses dents. Elle a la sensation de se liquéfier sous l’intensité de son étreinte. Elle souffle de plaisir alors qu’il s’attarde enfin sur sa poitrine, daignant lui accorder une attention digne de ce nom. Elle mordille sa lèvre inférieure, retenant ses gémissements satisfaits. Elle ne souhaite pas lui accorder tout de suite satisfaction. Même si c’est un fait, il la fait frémir bien plus que quiconque auparavant. Mais, sans aucun mot, elle le met au défi de lui prouver qu’il est capable de bien plus. Et, sincèrement, elle n’est pas déçue. En quelques gestes habiles, elle retrouve sa tenue d’Eve, le rouge lui montant légèrement aux joues face à l’expression de Thomas qui ne se gêne guère pour la contempler dans son plus simple appareil. D’ailleurs, l’étincelle qu’elle décèle dans son regard est un savant mélange d’envie et de détermination. Sans qu’elle ne s’y attende, il plante ses dents dans sa chair, marquant sa cuisse, alors que l’entièreté de son corps se tend d’un désir presque insatiable. Puis, elle perd définitivement le contrôle, il lui fait perdre le contrôle. Les lèvres expertes du barman portent une attention particulière à son bas ventre, sans même parler de l’audace de sa langue, éveillant ou plutôt provoquant son intimité. Il est cruel et mortellement habile si vous voulez son avis. Des piques de désir irradient le long de son corps, elle a l’impression d’être brûlante. Elle comprend qu’il attend qu’elle le supplie de cesser. Le salaud, songe-t-elle faussement indignée. Cette fois, elle n’arrive plus à contenir ses plaintes d’extases, elle a besoin de plus. On dirait qu’il n’est pas prêt de lui accorder plus sans qu’elle ne se rende. Elle aurait pu continuer à jouer, le provoquer à son tour, elle en est pourtant incapable. Elle le désire depuis si longtemps, trop longtemps pour continuer sur cette lancée. Elle se vengera par contre, c’est sûr et certain. Mais, là, elle a besoin de le sentir en lui, elle a besoin qu’ils ne fassent plus qu’un. « T’es vraiment un connard. » qu’elle s’exclame d’abord entre deux gémissements de plaisir. Dieu sait qu’Elsie déteste supplier, ce ne sera donc pas sans mauvaise foi. « Arrête. » Il n’en fait rien. Bordel. Elle gigote pour s’extirper de là. Elle ne va plus tenir longtemps, elle est même au bord de l’orgasme, bien sûr à chaque fois qu’elle s’en rapproche, il se joue d’elle en cessant quelques secondes ses assauts. « Arrête de me faire languir, prends-moi, Thomas. » à son plus grand désarroi, il remporte la victoire, ou plutôt cette manche.  

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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyLun 26 Fév - 1:44



Elsie x Thomas

« we have nothing to fear »


Elle était tout à lui à présent. Ils ne pouvaient plus faire demi tour à présent, ils avaient dépassés la limite avec ces baisers, mais également avec ce que faisait Thomas avec sa langue entre les cuisses de al belle brune qui succombait aux charmes de la montagne. Oh, il prenait un malin plaisir à découvrir cette femme qu'il avait tant désiré, mais tout autant refoulé pour ne pas craquer. Ils n'avaient jamais réussis, ils ne désiraient pas se montrer faible l'un face à l'autre, mais à bien y réfléchir, ils avaient étaient tous les deux stupides, parce que ce sentiment de plaisir qu'il pouvait offrir à Elsie était immensément puissant et l'excitait tout autant que s'il était en train de la prendre.

La demoiselle semblait résister un temps, même si son plaisir est palpable, si son plaisir arrive jusqu'aux oreilles de Thomas, elle ne cède pas, pas totalement, mais lorsqu'elle parle, lorsqu'elle ouvre enfin sa bouche pour réclamer, alors elle fait la seule chose qu'elle connaît vraiment, elle l'insulte ! Elle ne connaît que ça ! Mais ça ne donne que plus envie à Thomas de la faire craquer et sa langue s'enfonce plus profondément, cherchant le point du plaisir le plus intense et la voilà qui lui demande une première d'arrêter, mais il sent bien que ce n'est pas ça qu'elle désir. Non, elle désir autre chose, elle désir qu'il cesse de la faire attendre, qu'il passe aux choses sérieuses, qu'il la prenne sans plus attendre.

Néanmoins, Thomas n'accède pas à sa demande, il fait la sourde oreille, il poursuit son office, allant plus vite, allant plus profondément, allant jusqu'à la limite, cessant au moment ou elle allait lâcher prise, ou elle allait venir, il pouvait le sentir, le souffle de cette dernière allait trop vite, ses frissons étaient plus visibles. Il cesse, il se retire d'elle, il se redresse et s’immisce entre ses cuisses, la surplombant avec ce sourire de satisfaction et de victoire. Néanmoins, il n'offre pas ce que désir encore Elsie, son membre raidit par l'envie n'entre en rien en elle, son gland ne faisant que caresser les petites lèvres de cette dernière, rentrant de moitié sans pour autant aller plus loin.

Elsie peut voir la défiance dans le regard de Thomas, il lui montre qu'il a gagné, qu'il a prit totalement le contrôle du plaisir de la jeune femme et finalement, enfin, comprenant qu'il mettait à présent sa vie en danger, il donne un coup salvateur, un coup de hanche qui restera dans les mémoires, il pénètre finalement Elsie, un plaisir non camouflé, une envie à peine retenue, car rapidement, la douceur fait place à un empressement et l'envie de faire s'envoler le plaisir des deux jeunes personnes. Il pouvait enfin laisse libre court à la bête qui sommeillait en lui.


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MessageSujet: Re: We Have Nothing To Fear   We Have Nothing To Fear EmptyLun 5 Mar - 17:08



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Actuellement, Elsie oscille entre un savant panel d’émotions, allant du désir inconditionnel qu’elle éprouve à l’égard de Thomas à l’envie de tuer ce dernier pour l’attente qu’il lui fait endurer. Les mains agrippées aux couvertures, le souffle rapide, elle se contracte légèrement, presque à l’apogée de l’extase sous l’impulsion et la dextérité de la langue du barman. Elle grogne, peste même, alors qu’il s’écarte, cessant ses tourments. Elle a bien compris son manège, il ne compte pas la laisser atteindre le septième ciel, pas sans lui. Il se redresse finalement, un énorme sourire de satisfaction lui déformant les traits, tandis qu’elle lui adresse un regard assassin qui semble étirer son rictus mi-moqueur mi-satisfait. Il le payera, elle se le promet. Elle aussi, elle est plutôt douée pour faire languir ses partenaires, il le découvrira tôt ou tard. En attendant, elle retient son souffle, soutenant les prunelles de Thomas. Et, sérieusement, elle manque de l’insulter à nouveau alors qu’il se permet encore de l’allumer, s’enfouissant en elle de moitié, restant immobile. Elle va le buter. Il la défie, la domine, lui démontrant qu’il est le vainqueur de cette manche, qu’il détient le contrôle. « Je te jure que je vais t’étriper si tu ne… » La menace se perd dans le vide tandis qu’il accède à sa requête, lui donnant un puissant coup de rein. La douleur est bien vite remplacée par une intense vague de plaisir, l’envie de se donner entièrement à son partenaire. Elle se cale un peu plus contre Thomas, l’enserrant ferment au creux de ses cuisses, l’incitant à se laisser aller. La douceur n’est qu’éphémère, détrônée par l’impatience, l’intensité et l’impétuosité. De toute façon, Elsie n’a jamais été du genre délicate et encore moins fleur bleue. Elle se cambre au maximum, profitant de chaque sensation, de chaque coup de hanche, plantant à nouveau ses ongles dans la peau de Thomas. Elle implose littéralement sous l’emprise de son compagnon, envahie par une sensation de plénitude et de jouissance. Elle a le sentiment d’avoir toujours attendu cet instant. Musclor ne tarde pas à la rejoindre, alors qu’elle plaque sa bouche contre la sienne, recueillant ses plaintes d’extase.

La jeune femme roule sur le côté, laissant un peu de place à La Montagne pour s’écrouler sur le pseudo matelas, tout en reprenant son souffle très nettement agité. D’accord, il est exceptionnel au pieu, mais elle ne compte pas le lui révéler, pas verbalement, bien qu’elle se doute que son corps ait parlé pour elle. Une fois ses esprits un peu plus clairs, elle se redresse légèrement, prenant appui sur son coude, avant de lui asséner un léger coup de poing dans l’épaule en guise de représailles pour son comportement aguicheur. Il n’aurait pas dû jouer de la sorte avec ses désirs et son corps. « Espèce de crétin. » qu’elle lâche faussement indignée, le souffle encore un peu court. Elle s’assied finalement, levant ses bras au ciel dans le but d’étirer ses muscles légèrement endoloris par leurs ébats. Elle fait mine d’observer quelques instants son propre corps, se tournant ensuite vers Thomas. « Je crois que je suis manifestement intacte. » Elle lui adresse un sourire en biais. Il en faut plus pour venir à bout de la jeune femme, elle n’est certainement pas en sucre, loin de là. « Enfin, si on en oublie ça. » Qu’elle ajoute, désignant du doigt la morsure trônant fièrement à l’intérieur de sa cuisse. Elle ne le savait pas aussi… carnassier. Ce n’est pas pour lui déplaire bien qu’elle affiche une mine faussement outrée. « Alors, dégoûté ou pas ? » C’est bien ce qu’il a prétendu un peu plus tôt. Si ça se trouve, une fois qu'on aura couché ensemble, ça va me dégoûter ? Ses propres mots. Enfin, elle connait déjà la réponse, peu importe ce qu’il dit, elle est intimement convaincue qu’il est prêt à remettre le couvert n’importe quand. C’est surtout pour le plaisir de le chercher, de le mettre à l’épreuve.   

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