Fermeture définitive de Influenza ! No mitigating circumstance 1614057932 Un grand merci à tous pour ces moments de partage I love you
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 No mitigating circumstance

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MessageSujet: No mitigating circumstance   No mitigating circumstance EmptyDim 4 Juin - 16:25

Harrison Casey
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Une patrouille habituelle à l’extérieur de la mine, non pas que ce soit son rôle mais elle appréciait de pouvoir sortir même si ça voulait dire côtoyer les pouilleux. Au moins, le soleil était au rendez-vous et les gens n’étaient pas trop chiants. Aujourd’hui était plutôt calme, pas de conflit à régler, pas d’alcoolique à calmer ou de réclamation particulière. Les quarries devaient être occuper à investiguer sur la rumeur qui s’était propagée depuis peu : le vaccin. Casey n’y croyait pas et ne voulait pas y croire, sa perception de la vie était bien trop ancrée dans la situation actuelle qui lui était impossible d’envisager de revenir à la vie pré-apocalypse. Le bon point c’était que les habitants de la carrière ne voyaient pas les choses de la même manière et préféraient chasser la chimère que de se quereller. La blonde décida de faire un détour vers l’ancien foyer de l’incendie qui avait ravagé une partie du clan. Incendie qu’on lui avait intimé d’étendre plutôt que propager. Une décision qu’elle ne comprenait pas au vu des derniers évènements entre la carrière et la mine. Néanmoins, la leader décidait, Casey obéissait – généralement. Dire que cette histoire de médicament n’avait toujours pas été réglée. Ele s’était demandé si l’incendie et le vol étaient liés mais son investigation sur place n’avait donné aucune preuve concluante. Le mystère restait entier quant au voleur et au début de l’incendie. Alors qu’elle s’enfonçait entre les habitations délabrées et ravagées, elle aperçut Harrison plus loin. Rien d’étonnant de le voir trainer dans la carrière et ce n’était pas la première fois qu’elle l’y apercevait. Toutefois, aujourd’hui son cerveau décida de tisser quelques liens entre ses neurones. Pendant que son esprit se mettait à chauffer et à élaborer des hypothèses, la femme suivait l’éclaireur de loin. Il semblait si à l’aise avec les gens qu’il croisait, si familier, si… comme eux. Si elle ne le connaissait pas, elle aurait tout à fait pu le prendre pour l’un d’entre eux. Cette vision ne fit que renforcer le doute qui naissait en elle. Beaucoup de choses s’emboitaient dans un sens, ce même sens ses souvenirs lui rappelèrent que Harrison n’avait pas été confiné à l’intérieur de la mine pendant l’épidémie. Pourtant, il avait été interrogé par Anita, elle le savait et si jamais la femme avait eu des doutes, elle ne les avait pas partagé avec la chef de la sécurité.
Harrison finissait sa discussion avec une habitante du coin lorsque Casey accéléra le pas pour le rejoindre. Autant discuter avec lui, le suivre plus longtemps ne servirait pas à grand-chose ou soit il aurait fallu un bon gros coup de chance. "T’es là pour le plaisir ou le boulot ?" Dit-elle sur un ton neutre, mettant toutes les salutations formelles de côté. A quoi bon ? La blonde n’était pas connue pour être une personne agréable. Même si elle n’avait jamais eu l’occasion de se retrouver seule avec l’homme, ils se connaissaient suffisamment pour passe outre les formalités. "Parce qu’à force de tourner dans la carrière, tu devrais peut-être songer à rejoindre les gardes, ça nous ferait du boulot en moins." Elle ne put empêche cet espèce de trait d'humour mélangé à du sarcasme de sortir de sa bouche. Au final, elle avait sûrement plus vu Harrison en dehors de la mine qu’à l’intérieur.


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MessageSujet: Re: No mitigating circumstance   No mitigating circumstance EmptyJeu 29 Juin - 14:45

« Non, j’ai rien vu de ce genre, s’excuse doucement le mineur. » La main de Faye s’enroule autour de son poignet. À l’insistance, sans force, s’ajoute une sorte de désespoir sinuant. Prudent, Harrison prend les doigts grêlés dans l’alcôve des siens et son regard retourne à celui de la femme. « Je te le dirais, fait-il avec certitude. Si j’entends quoi que ce soit… je te le dirais, il répète à la manière dont on instille une idée de religion. » Le poids de ses années sur les épaules (dont les dernières comptes triple avec l’Influenza), Faye hoche du crâne en marmonnant. La Carrière n’a pas d’éclaireurs, pas à proprement parler. Ils n’en ont pas tout à fait besoin, car les marchands et les caravanes font un travail d’histoires et de rumeurs. Ils en arrivent tous les jours et de tous les endroits. Les récits, néanmoins, ne sont pas fiables, quand même on dilapide son temps à les recouper. Depuis qu’Harrison l’a compris, il prend le temps de raconter ce qu’il voit, qu’il sait et qu’il entend. Tout ce qui n’intéresse pas exclusivement Anita, et la Mine, il le transmet à ceux qui veulent encore savoir ce que devient le monde. Ces derniers temps, le monde, c’est Lazare.

Harrison ne peut pas dire qu’il y croit. Il n’en sait rien. En revanche, il aimerait que cet homme existe, que ce vaccin soit… Son optimisme maladif ne peut s’empêcher de conjecturer un proche avenir. De ce qui se murmure et qui se gueule, personne n’est d’accord sur les effets d’un tel remède. L’éclaireur se contenterait d’une immunité pour tous les survivants. La face du Texas en serait radicalement changée. Par-dessus, il voudrait connaître, lui aussi, cette époque, même si ce n’est qu’un peu.

En tapotant affectueusement la main de Faye, Harrison la quitte. Une babiole, en guise de gratitude, est versée dans le fond de sa poche et il n’a pas fini d’abandonner un sourire à la vieille commerçante que la voix de Casey lui fait tourner la tête à la toute-opposée. Elle le rattrape presque aussitôt ; il n’en est pas certain mais on aurait dit qu’elle le suivait. « Eh, il répond un peu rapidement. » Parmi les étales, l’éclaireur ne s’arrête pas. Quelques uns de la Carrière le saluent avec distance (sans doute en raison de la compagnie dont il est maintenant affublé) tandis que, pour l’essentiel, on les ignore superbement. Ce n’est pas très étonnant quand on connaît les relations, perpétuellement tendues, entre les deux camps d’Hamilton. Pour leur part, Redfield et Roe ne leur ont rien fait de mal et voilà qui leur assure, a minima, le droit de déambuler librement parmi eux. « Les gardes, hein ? » Il y a une légère tension dans le timbre d’Harrison, très subtile. D’abord, Casey ne donne pas exactement dans la conversation d’agrément. Ensuite, sa réplique recèle une espèce de… suspicion ? Ce n’est même pas vraiment ça. D’aucuns diraient qu’elle fait simplement son travail. Or, Harrison sait très bien en quoi celui-ci consiste et combien il n’est pas de bon augure de se faire interroger par l’une des responsables de la sécurité d’Hamilton. « Je sais pas, hausse-t-il un peu les épaules. Je tiens pas très bien en place. J’ai besoin d’espace. » Pour rien au monde il n’échangerait sa place d’éclaireur. Non qu’il ne participe pas à d’autres tâches, dans les tunnels, quand le besoin s’en fait sentir ou qu’il a le temps de le faire. Rien ne vaut une vie à ciel ouvert, c’est tout, même si c’est parfois celui de la Carrière… Et ce serait insulter l’intelligence du mineur que de croire qu’il n’a pas compris que c’est précisément à propos de ça. « Je reviens justement d’un tour du périmètre, poursuit-il sur un ton de conversation, et je vais en causer à Anita dès que j’ai fini ici, si c’est ça qui t’inquiète. » C’est probablement ça, oui.
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MessageSujet: Re: No mitigating circumstance   No mitigating circumstance EmptyDim 16 Juil - 14:55

Harrison Casey
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Qu’est-ce qu’il y avait de si fou à rejoindre les gardes de la mine ? Après tout, Harrison semblait faire exactement le même boulot qu’eux : vadrouiller à travers les espaces de la carrière ou de la mine, taper la causette et remplir quelques missions pour les habitants. Rien de bien différent d’un garde qui faisait efficacement son boulot. Sachant que depuis les tensions entre la carrière et la mine, « efficacement » n’était plus vraiment dans les priorités des Miners quand il s’agissait de demandes provenant de leurs voisins. Casey émit un léger sourire en imaginant la représentation que l’homme pouvait avoir des gardes. Représentation pas totalement fausse puisque certains ne faisaient que rester sur place toute la journée. Mais comme lui, elle n’avait jamais supporté ce genre de poste et avait toujours préféré faire les patrouilles. Néanmoins, la femme se garda de lui apporter des détails supplémentaires sur ce fameux poste. Son offre n’avait pas été sérieuse mais la façon de réagir de son interlocuteur était plutôt amusante – d’une certaine façon. Laissant le silence flotter dans la conversation, elle laissa à Harrison tout le plaisir de reprendre la parole. "Pas vraiment, non." A son tour, elle haussa les épaules. Elle fut plutôt étonnée d’entendre cet argument. A croire que Casey était devenu le chien de chasse d’Anita et qu’elle s’amusait à traquer les bévues ou autre manquement au devoir. Loin de là. Toutefois, cette façon de réagir, ne manqua pas d’intriguer la blonde et de l’enfoncer dans des suspicions qui n’avaient pas encore vu le jour jusqu’à peu de temps. "Rien ne m’inquiète. Les comptes que tu rends à Anita ne me regardent pas, du moins, tant que ça ne concerne pas la sécurité de la mine." La deuxième partie était vraie, la première attendait une démonstration pour être convaincue. Sortant son paquet de cigarettes, elle en prit une dans l’idée de l’allumer mais décida d’en proposer à son voisin. Aucune idée de s’il fumait, à vrai dire, elle n’avait pas d’idée sur qui était le personnage. Sans jamais se préoccuper de lui, il avait fait partie des murs de la mine – bien avant elle, et elle l’avait accepté comme tel, sans chercher à s’y intéresser. A tort… ou à raison."T’étais avec les carrières avant la mine ?" Son ton était resté naturel, loin d’être un interrogatoire. La question était légitime, non pas à cause des rapprochements qu’avaient fait son esprit mais à cause des liens qu’il semblait avoir avec les habitants. Réalisant que sa question était tout de même un peu crue dans une conversation qui s’avérait banale, elle préféra spécifier l’origine de cette pensée :"Je ne sais pas grand-chose sur toi et tu sembles bien connaître les gens ici donc j’essaye de me faire une idée. En plus, tu semblais plutôt concerné par le conflit qui a éclaté avant l’incendie." Sur le coup, elle n’avait pas prêté attention à l’homme, plutôt occuper à grogner contre les ordres qu’on lui donnait. Sauver les quarries, éteindre l’incendie, en d’autres termes : aider des gens qui avaient essayé de les mettre dans la merde quelques semaines auparavant. Logique à deux sous. Casey balaya ses pensées, préférant se concentrer sur l’instant présent et surtout sur l’autre Miner. Arrêtant de jouer de ses doigts avec la cigarette qu’elle tenait, elle l’alluma enfin, inspirant une bouffée de fumée comme s’il s’agissait d’air frais. "Mais je suis quand même contente que tu sois intervenu." Dit-elle pendant qu’un rapide sourire traversait ses lèvres à l’intention de son interlocuteur.

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MessageSujet: Re: No mitigating circumstance   No mitigating circumstance EmptyVen 4 Aoû - 11:18

La nonchalance avec laquelle Casey lui rétorque persuade l’éclaireur de tenir sa méfiance sous une bride plus serrée. Il est sur la défensive, c’est bien trop manifeste ; il n’aime pas les questions ; il n’aime pas que la responsable de la sécurité lui en pose ; il n’aime pas ce faux-air de familiarité dans une conversation que d’ordinaire ils n’ont jamais.

C’est, d’ailleurs, plutôt de son fait à elle. Harrison est d’un caractère égal avec tous les occupants de la Mine, et plutôt réputé pour son amitié abondante. Ils ne se sont pas liés outre mesure, voilà tout. Le plus inhabituel, c’est sans doute qu’ils n’aient jamais réellement discuté. Alors, bien sûr, ce bref entretien, dans le vif, est curieux, même suspect. S’il se retient de le faire remarquer, Harrison n’en pense pas moins : elle ne lui fera jamais croire que rien ne l’inquiète : « Il y a quelque chose qui ne concerne pas la sécurité de la Mine... ? » Le sourire est distrait, le ton insidieusement plus ironique. Harrison ne doute pas que les informations remontées jusqu’à Anita redescendent à Casey.

Ils déambulent toujours dans les fondrières du marché lorsqu’il décline la cigarette généreusement proposée : « Je fume pas. » (Pour d’évidentes raisons, comme son passé d’athlète ou parce que, en dehors de ses jambes, ses poumons sont les meilleurs garants de sa survie.) Le geste est néanmoins d’une banalité qui l’interpelle. Qu’est-ce qu’elle cherche, au juste… ? Probablement pas à se rendre sympathique, sans quoi elle ne soulèverait pas tout de suite, et de nouveau, sa connivence avec les habitants du coin : « T’étais avec les carrières avant la mine ? elle demande. » « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? il répond. » Harrison ne joue pas non plus l’étonné (et il se garde bien d’être offusqué). Ce n’est pas la première fois qu’on lui cause de ses rapports avec la partie fangeuse d’Hamilton. On le lui a même reproché. Les deux camps ont fini par lui reprocher son équilibre. Trop l’un ou trop l’autre. Pas assez l’un ou pas assez l’autre. Plutôt discret dans ses opinions, l’éclaireur est forcé d’admettre, le menton qui acquiesce à l’adresse de Casey, qu’il connaît presque autant de carrières qu’il connaît de mineurs. « J’étais déjà là quand ce n’était pas la Carrière d’un côté et la Mine de l’autre, il explique très platement. » Et ce trait d’histoire suffit à tout : Harrison a vu la Carrière se former, il a vu des mineurs y descendre, et d’autres s’y trouver relégués ; il a vu le fossé grandir et la sélection empirer ; certains de ses camarades dans la Carrière n’étaient rien d’autres que ses comparses dans les tunnels. Il y a combien de temps, déjà… ? Précisément, il ne sait plus. Hamilton a mauvaise mémoire. Harrison, presque autant.

« C’est ce que tu voulais me dire ? » Entre un étal de breloques et un autre de graines plus ou moins destinées à la consommation, l’éclaireur s’arrête brutalement et se tourne tout entier vers Casey. Aucun sentiment ne le domine franchement, en dehors d’une certaine impatience toujours mâtinée de cordialité. Il ne coupera pas court à la conversation tout seul et, dans le même temps, il ne la poursuivra pas à moins qu’on ne lui dise franchement ce qu’on lui veut.
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MessageSujet: Re: No mitigating circumstance   No mitigating circumstance EmptySam 12 Aoû - 13:50

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En d’autres circonstances, elle aurait sûrement répondu « non », tout concernait la sécurité de la mine. Dans l’époque où on vivait, le moindre détail pouvait avoir son importance. Néanmoins, elle se contenta d’apprécier la blague (du moins, il lui semblait que ça en était une) et lui rendit son sourire. Ne s’offusquant pas du refus, elle se contenta d’hausser les épaules. Cette situation montrait à quel point elle connaissait peu son interlocuteur et surtout le voyait très peu. Sûrement parce qu’il passait sa vie à l’extérieur – avec les carrières ? D’ailleurs, la question de l’homme était plutôt rhétorique, du moins elle l’espérait. N’importe qui aurait pu faire cette hypothèse au vu de l’histoire de la mine, de ces gens qui attendaient vainement à la carrière d’entrer à la mine. "Une déduction." Répondit-elle simplement avant d’allumer enfin sa cigarette. Pas besoin de développer sur les fondements de sa réflexion. Elle le regardait curieuse, lors de sa simple explication de son passé, ne répondant pas tout à fait à la question mais assez pour que Casey en tire ses propres interprétations. Harrison devait avoir la même vision qu’elle avait au moment où elle était arrivée à Hamilton, une vision qu’elle considérait maintenant comme naïve. Les évènements de cette dernière année l’ayant induite à choisir un camp et à alimenter une certaine rancune envers les carrières. De fait, la blonde se demandait comment il avait réussi à passer outre tous les conflits et les situations dangereuses dans lesquels les avaient impliqué l’autre camp. Perdue dans ses pensées, elle fit quelques pas avant de remarquer que son interlocuteur s’était arrêté, revenant en arrière, elle le dévisagea. Sa question la fit sourire, plus par sa forme et ce qu’elle sous-entendait qu’autre chose. Casey n’était pas réputée pour être de bonne compagnie mais aujourd’hui, elle avait fait exempt de tous ses défauts sociaux pour être amicale. "Plus ou moins. Je m’interroge juste sur ta proximité avec les carrières." Haussant à nouveau les épaules, elle jeta un œil autour d’elle avant de reprendre pour clarifier un peu sa réponse : "Je crois qu’on se ressemble ou on se ressemblait. Quand je suis arrivée ici, je ne comprenais pas pourquoi il y avait ce schisme entre la carrière et la mine. Aujourd’hui, après toutes les conneries qu’il y a eu, je suis plus… Disons simplement que je n’hésiterais pas une seconde à faire un choix entre un gars de la carrière et un de la mine. Pourtant, toi, tu n’as pas l’air d’avoir été affecté par tout ça…" Elle tira sur sa cigarette, toujours l’ombre d’un sourire sur ses lèvres histoire de garder un aspect amical et informel à cette conversation. Quelques secondes s’écoulèrent, juste le temps de le laisser digérer son discours pour qu’elle puisse reprendre : "Peut-être qu’un côté de moi admire ça, ta capacité à rester neutre mais l’autre se demande, comment tu fais ? Du coup, je me suis dit, que tu devais être l’un des leurs avant d’être l’un des nôtres." Dit-elle en écartant légèrement les bras pour montrer l’évidence de son raisonnement. Casey ne lui mentait pas même si ses paroles avaient aussi un autre but. Autant, elle voulait comprendre le comportement d’Harrison - voire le comprendre tout court, qu’elle voulait aussi mettre à mal ou renforcer les connexions qui s’étaient faites dans son esprit quelques instants plus tôt.

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