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Nom & Prénom Jolene Oscauro. Naissance Le 24 Avril 1991 en Arkansas, dans la ville d'Harrison. Jo' a donc vingt-huit ans. Vie avant l'épidémie Ô la petite a vite su faire son trou sans déranger personne, s'occupant d'elle-même, embrasant son indépendance. Elle n'a jamais prêté attention aux souhaits que ses parents avaient pour elle. Elle traça son chemin seule, par sa propre volonté. Les animaux la fascinaient, elle aurait aimé devenir vétérinaire mais l'épidémie l'empêcha de terminer ses études et ainsi sa formation jusqu'au bout. Ce sera certainement son plus grand regret. À part ses parents, une amie et son chien elle n'avait pas grand monde dans sa vie. Vie aujourd'hui À défaut de pouvoir prétendre être vétérinaire, la jeune femme d'Arkansas peut au moins s'occuper de tâches plus ou moins simples à leur sujet. Elle est donc devenue soigneuse animalière chez les Crimson Riders. Même si dans ce monde son rêve de pleinement devenir vétérinaire n'est plus possible, elle continue d'étudier pour, cherchant à toujours apprendre plus. Elle reste encore bien en retrait, s'acclimatant doucement à son nouvel environnement. Nombre de rôdeurs tués Pas beaucoup en comparaison à certains, vraiment. Nombre d'humains tués Certainement plus que de rôdeurs … Mais c'était par choix -le leur, et pitié -la sienne. C'est eux qui voulaient en finir et venaient la voir pour ça. Arme(s) de prédilection Jo' possède le couteau de son père, une assez grosse lame d'ailleurs. Elle n'a pas beaucoup d’expérience avec les armes à feu mais aimerait beaucoup qu'on lui apprenne à s'en servir correctement sans gaspiller de balles. Sa défense n'est pas très propre.

Caractère du personnage Toujours en retrait, Jolene n'est pas une personne qui s'impose, même lorsque son avis diverge vraiment de l'opinion générale et qu'elle est persuadée d'avoir raison. Elle ne serait donc pas du genre à exploser en criant ses arguments, plutôt à se renfrogner et garder sa rancœur pour elle le temps que la frustration passe, en grande rancunière invétérée. Discrète, polie et réfléchie, son tempérament est d'un calme déconcertant. La jeune femme pousse la plupart du temps ses réflexions jusqu'au bout avant de les partager, ne parlant pas pour le plaisir de brasser du vent tel un moulin. Ces différentes habitudes lui donnent très clairement l'air d'être froide voir je-m'en-foutiste alors que ce n'est pas le cas. Elle prend le temps Jo', le temps d'évaluer tout; les situations comme les personnes, avant de se risquer à sauter le pas et de considérer à peut-être s'ouvrir. L'humour lui échappe souvent, trop terre à terre pour s'évader un peu, trop accablée par la noirceur qu'à fait naître en elle le fait de prendre ces vies. Elle peut paraître naïve parfois mais c'est juste qu'elle n'a pas assez côtoyé de gens avant l'épidémie pour savoir à quoi s'en tenir alors elle part d'un principe simple : méfiance est mère de sûreté. De toutes façons mieux vaut se méfier depuis que la civilisation s'est écroulée, l'humain a changé, elle aussi. Plus transparente, plus silencieuse, plus seule et plus coupable qu'elle ne l'a jamais été dans sa vie, Jolene ne cherche pourtant pas spécialement à se repentir; la mort sera la délivrance ultime à ses yeux, pour chacun. Mais la mort définitive, celle dont elle a soutenu le regard mainte fois déjà et prise par la main, pas celle dont est affectée la plupart des cadavres ambulants qui peuplent désormais une grande partie des villes et des campagnes. La tranquillité est primordiale pour cette jeune femme, il lui faut son espace privé, son petit cocon où se ressourcer, se cacher. Elle n'a jamais eu à agir sous la pression jusque là ou sur un coup de tête, tout est planifié et si ça ne l'est pas alors la soigneuse prend le temps de le faire, ne serait-ce qu'une minute : se jeter dans l'inconnu l'effraye même si elle ne l'avouera pas à haute voix. Lorsque trop de choses changent d'un coup et en même temps, Jo' se sent perdue, elle s'adapte mais cela lui prend du temps ; d'où l'importance d'avoir un endroit où elle peut se retrancher pour faire le point ainsi que d'avoir un rôle fixe aux tâches qu'elle pourrait exécuter presque les yeux fermés.