Fermeture définitive de Influenza ! Tag i sur Influenza 1614057932 Un grand merci à tous pour ces moments de partage I love you

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Tag i sur Influenza UjH0pSySujet: (VIII) I've been wondering where we've gone
Abel Rhodes

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Rechercher dans: RP Archivés   Tag i sur Influenza EmptySujet: (VIII) I've been wondering where we've gone    Tag i sur Influenza EmptyMer 17 Mai - 0:02


Peyton & Abel
« I’VE BEEN WONDERING WHERE WE’VE GONE


Il acquiesça silencieusement d’un hochement de la tête. Jones. Qui d’autre, de toute façon ? Sa relation avec Aaren Diggs était pour ainsi dire inexistante depuis l’échec de leur alliance quelques mois plus tôt et pour ce qui était des jackals, il était évident qu’ils n’entraient même pas en considération au milieu de tout ça. Mais il s’abstint de donner les détails qu’elle ne demanda pas, n’ayant intérêt à laisser la conversation dévier là-dessus alors que ça ne la concernait pas directement et qu’ils avaient d’autres problèmes à traiter.
Elle l’embêtait, Peyton, parce que ses arguments tenaient la route et qu’il était bien obligé de les lui concéder, bon gré ou mal gré. Sauf qu’accepter le retrait complet de ses troupes, c’était retirer jusqu’à la dernière goutte le peu de contrôle qu’il pouvait exercer sur la ville. Et même s’il était avéré qu’il n’était, pour l’heure, pas vraiment en état d’en profiter puisqu’il avait ses propres soucis (pas des moindres !) à régler en interne, laissait Olympia entièrement à ses olympiens n’arrangeait pas ses affaires. Ce serait un sacré retour de quelques mois en arrière et, une fois qu’il lui aurait accordé ce qu’elle demandait, il ne voyait là plus qu’une question de temps avant qu’elle ne se ramène de nouveau ici pour lui annoncer qu’elle considérait leur dette envers les cavaliers comme étant désormais totalement acquittée. Or, si Abel était très bien conscient qu’il n’était pas en état de nourrir sa folie des grandeurs – que ce soit parce que ses hommes étaient encore affaiblis de l’épidémie ou tout simplement parce que l’unité du camp s’effilochait beaucoup trop pour envisager une manœuvre de cette envergure –, il n’avait pas non plus envie de tirer définitivement un trait sur les projets qu’il avait pu nourrir à l’égard d’Olympia. Imposer un quota. Et avec quelle force de conviction, au juste, s’il n’y avait plus personne pour garder un œil sur eux ? « Et qu’est-ce qui vous empêchera, dans ce cas, de décider subitement que vous ne me devez plus rien ? » L’ombre des cavaliers disparus, les habitants ne tarderaient pas à se sentir pousser des ailes devant leur (relative) tranquillité retrouvée. Il était persuadé, Abel, qu’elle chercherait de nouveau à l’entuber si l’occasion se présentait encore une fois à elle. Il pourrait même en comprendre les raisons (les accepter, en revanche, était une autre paire de manches), mais ce n’était pas pour autant qu’il souhaitait lui en donner la possibilité. « Donc, ce n’est pas que j’essaye de changer quoi que ce soit à ce que tu as déjà fait, mais tu dois bien comprendre que tu ne peux pas t’en tirer aussi simplement que ça à présent. Toutes les erreurs se paient, Peyton. Et je ne vois aucune raison de faire une exception à cette règle pour toi. » Surtout pour toi, à vrai dire. Qu’elle se joue de lui l’avait blessé au delà de son simple amour propre qui ne souffrait guère d’être ainsi moqué : c’était là, sans doute, une de ces conséquences désagréables au fait qu’il ne parvenait pas à se défaire de cet attachement bien trop prononcé qu’il avait à son égard. « Alors tu crois vraiment que tu peux simplement te ramener avec tes propositions et me les balancer sur la table en t’attendant à ce que j’accepte bien gentiment sans te causer le moindre problème ? »



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