Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil
Auteur
Message
Vladimir Stanković
Olympians + le monde qui est le mien
Hurlements : 376
visage : Charlie Hunnam
crédit : Morrigan | EXORDIUM
survit depuis le : 02/11/2016
capsules de troc : 1336
Sujet: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 14:31
+ Vladimir Cain Stanković To live is to suffer, to survive is to find some meaning in the suffering.
+ Je m'appelle Vladimir Cain Stanković et j'ai 38 ans. Avant l'épidémie comment expliquer sans vous perdre ? Accrochez-vous. J'ai passé trois ans dans une formation pour devenir un assistant social avant de le devenir pendant plusieurs années. Après avoir travaillé avec la police, je décidais de rentrer dans la police serbe et demander mon poste dans la police des mineurs. Vous n’imaginez pas le pourcentage du trafic d’enfants en Serbie… Grimpant les échelons, une grosse opération « filet » fut mise en place avec les USA et je devins ainsi agent de coordination avec toute une équipe Americano-Serbe afin d’assurer la protection des victimes des trafiquants. A la fin de cette opération, je restais aux USA pour aider de nouveau les services à l’enfance. Maintenant, je suis un solitaire, mais on est deux. En six ans, j'ai descendu une bonne centaines de rôdeurs si ma mémoire ne flanche pas, j’ai arrêté de compter. Et j'ai tué 7 humains. La protection. Si je peux éviter de tuer, je le fais. Mais depuis ce merdier, et n’ayant pas que ma vie à protéger, je ne peux pas me permettre une seule erreur. Deux étaient des voleurs, pas de ceux qu’on effraie en sortant son gros fusil à pompe. Du genre a tellement crevé de faim qu’ils seraient prêts à vous bouffer comme des putains de lapins. La troisième, c’était une jeune femme, d’une vingtaine d’années. Elle avait été mordue. J’ai simplement abrégé ses souffrances. La fille avait une peluche dans son sac, un joli ours en peluche. Avant que j’appuie sur la détente, elle me l’a offerte. Pour Jezabel. Mes armes de prédilection sont le couteau de chasse appartenant à mon défunt père, un fusil à canon scié mais je m’en sers rarement… Vous avez vu le bruit que ça fait ces trucs ? Enfin, un pistolet muni d’un silencieux. et on dit que j'ai du talent pour m’occuper des gens. Ce qui n’a rien d’étonnant quand on voit mes anciens boulots, j’étais plutôt doué pour la diplomatie. Je sais être fort pour les autres, écouter les gens et tenter de les aider. Être un pilier. Les autres s’effondrent, pas moi. C’est pas mon rôle. Même si maintenant je garde jalousement ce « talent ». Monde de merde et de menteurs. La survie quoi. Je suis aussi bon pour tenir l’alcool – et quoi cliché ? -que de fabriquer des cocktails molotovs. J’adore faire des tours de magie pour les gamins. Fumer une quantité astronomique de cigarettes, boxer ou danser pendant des heures pour tout oublier... Ah. Ca me manque tellement.
— profil psychologique
La première chose qui vous viendrait à l’esprit si vous deviez parler de lui, ce serait certainement sa froideur. C’est ce que l’on dit des gens de l’Est, en général ils ne sont pas très souriants, ils ne rigolent pas facilement. Et il y a de la vérité là-dedans. C’est une pensée plus russe que serbe à proprement parler, mais il n’est pas naturel pour lui de sourire à tout va. Ni de faire des câlins en guise de bonjour. Pas que cela lui déplaise, mais son éducation le fait passer pour quelqu’un de froid ou de distant… On ne va pas se cacher que depuis que la fin du monde a décidé de pointer le bout de son nez, en effet il n’est pas le type le plus abordable ou le plus causant. Dites quelque chose qui lui ne plaît pas ou que vous avez gagné la sanction « garder ses distances », débrouillez-vous avec l’hostilité que vous vous mangerez en pleine gueule. Ne venez pas vous plaindre, s’il fait ça, c’est qu’il a tout de même été assez diplomate pour vous prévenir auparavant. Ça étonne quelqu’un si on vous dit qu’il a des nerfs d’aciers ? Vladimir, c’est un homme qui est fort pas seulement physiquement -bien qu’il soit bien bâti- mais surtout psychologiquement. Il en a vu des gens dans la merde, des gosses arrachés à leurs familles, des monstres s’en prenant aux enfants. Ouais, parce que les bouffeurs de chair humaine, ils sont bien mignons, mais il y a certaines choses que personne ne devrait voir. On ne dit pas qu’il resterait insensible à quelqu’un se faisant déchiqueter sous ses yeux ou se prenant une balle en pleine la tête. Sachez simplement que des saloperies, il en a vu bien avant l’apocalypse.
Le seul moyen de véritablement sortir de ses gonds de nos jours, c’est de toucher à Jézabel. La petite est la seule chose encore innocente, saine et à sa manière un pilier pour l’équilibre de Vladimir. Sa disparition signerait certainement sa mort. C’est le seul être avec qui le Serbe peut se montrer tendre, paternel. Il n’est pas étrange de dire qu’il est d’une nature protecteur envers les autres, mais ce trait s’est exacerbé pour devenir surprotecteur envers seulement la plus jeune. Il ne la laisse jamais seule, hormis pour des besoins comme aller au petit coin ou se laver. Et n’ayant plus confiance en l’espèce humaine depuis un petit moment, il se trouve être méfiant. Il lui faudrait un long moment avant de baisser sa garde. Vladimir est toujours dans l’optique que ça peut mal tourner et que le plus important, c’est la sécurité de la petite. C’est d’ailleurs quelqu’un qui ne passe pas par quatre chemins pour vous dire quelque chose. Il ne manque jamais de tact, mais c’est un homme très direct. Un homme instruit et qui adore lire. C’est vrai que si vous avez une bibliothèque quelque part, il ne cracherait pas dessus. Il parle couramment le serbe, le russe, l’anglais et le langage des signes. Il serait certainement important de vous signaler que Jezabel est muette de naissance et donc il pratique ce langage depuis qu’il la connaît pour communiquer avec elle. A l’oral, il utilise plus couramment l’anglais et le serbe avec elle, lui apprenant autant qu’il peut.
C’est un homme profondément bon pourtant, comme beaucoup de gens avant que les zombies ne sortent de leurs tombes. Vladimir, c’est quelqu’un de doux, travailleur et généreux. Caché sous une épaisse couche de froideur, se renfermant sur lui-même pour être assez fort pour deux. Se montrant aussi implacable et impitoyable que nécessaire. Vladimir est capable de beaucoup de sang-froid, très peu impressionnable en général. Accordant peu sa confiance, une fois qu’elle est acquise, elle est à vie. Trahissez-le, et plus que la rancœur qui animera ses sentiments, ce sera l’ignorance de votre personne qu’il utilisera en guise de punition. Il pardonne difficilement la trahison. Un dernier mot pour la fin peut-être ? Il parle la moitié du temps en anglais et l’autre en serbe, adorait faire rire Jezabel qui comprend le mélange entre les deux langues. Si elle est assez loin, il se permet d’être plus vulgaire, bien qu’ayant toujours fait attention à ne jamais lui apprendre des grossièretés en langage des signes.
— i wanna be in the room where it happened
PRÉNOM &/OU PSEUDO : Akira ÂGE : 21 ans ! PAYS : France OÙ AS TU TROUVÉ LE FORUM ?*Pointe Bass en arquant un sourcil.*MOT DE FIN : Hâte de RP avec vous AVATAR :Charlie Hunnam LE PERSONNAGE EST UN Inventé
Vladimir Stanković
Olympians + le monde qui est le mien
Hurlements : 376
visage : Charlie Hunnam
crédit : Morrigan | EXORDIUM
survit depuis le : 02/11/2016
capsules de troc : 1336
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 14:31
— history has its eyes on you
+ there's before ... Il n’y a jamais eu de présence féminine dans la vie de Vladimir. Seulement son père. Pour être plus clair, il est resté à peine une année sous la garde de sa mère. Avant d’être abandonné dans les bras de son père passant pour la première fois en plus d’un an la porte de son appartement, tout juste sortie de prison. Il en avait fait des conneries, trafic de drogue, petit soldat à la solde de la mafia locale, bref, juste assez pour être arrêté sous les yeux de sa compagne tout juste enceinte. Après être resté plusieurs heures dans le silence complet avec son fils dans les bras, monsieur Standović a pris la décision de couper tout lien avec sa vie passée. Déménageant dans une autre ville, trouvant un boulot honnête. Se promettant de tout faire pour que son fils ne fasse pas les mêmes erreurs que lui et faire de lui quelqu’un de bien. C’était un père sévère pour Vladimir, mais foncièrement juste et aimant malgré tout. Malgré les bagarres qu’ils ont pu avoir, jamais l’un des deux n’a douté un seul instant de l’amour profond qui les lie en tant que père et fils. Comme tout gosse, il faisait des bêtises. Il se prenait une engueulade. Quand l’adolescence arriva et son lot de problèmes avec, je vous assure que vous mangez une gifle d’un homme qui fait presque deux mètres pour un bon quatre-vingt kilos, vous ne répliquez pas.
Il ne le battait pas, non. C’était sa manière à lui de lui faire comprendre que parfois, il frôlait la pente glissante. Son père était un peu trop au courant de comment opérer la mafia pour attraper les jeunes dans leurs filets. Transporter un paquet d’un lieu à l’autre, de l’argent facile. En tout cas au début. Et puis cela allait crescendo jusqu’à être complètement prisonnier de l’organisation. Son père le savait que trop bien, c’est pour ça qu’il a tout fait pour que Vladimir n’ait jamais des fréquentions foireuses. Lui proposant dès ses dix ans de lui trouver un hobby qui lui plairait. Le choix du fils se porta alors sur la danse qu'il pratique depuis tout ce temps, et plus tard la boxe. Aujourd'hui, il remercie son père d'avoir eu cette bonne idée. Car ces deux passions l'aidèrent à ne pas craquer durant toutes ses années. Son père, il était sévère avec lui pour qu’il soit excellent à l’école. Qu’il s’éloigne le plus possible du monde de l’ombre. Ayant toujours eu beaucoup de respect pour son père, c’était un gosse obéissant en général et il faisait son possible pour rendre fier son paternel. Ouais, il arriva à ses dix-sept ans avec un presque sans faute sur le tableau. Déjà à l’époque, il essayait de convaincre et d’empêcher ses plus proches amis de ne pas se laisser avoir, eux aussi. De rester loin du trafic de drogue – la Serbie étant un point capital d’entrée de la cocaïne en Europe -. Il faisait de son mieux pour aider tout le monde. Jusqu’à ses dix-sept ans. Un tournant dans la vie de Vladimir. Dans ses amis, certains c’étaient mis une autre bande à dos. Aussi impulsifs que l’on puisse l’espérer de petits soldats sans cervelles à qui on a refilé des 9mm pour se faire « respecter ». Il ne faisait pas partie de ceux qui sont visés, mais il a deux cicatrices sur le côté droit de ses hanches qui lui rappelle ce triste événement chaque fois qu’il se regarde dans une glace. Deux de ses amis furent blesser, le troisième mourut sur le coup, une balle en pleine poitrine.
C’est après sa sortie de l’hôpital qu’il annonçait à son père son désir de faire des études pour pouvoir aider les gens. Et particulièrement les plus innocents. Parce que ouais, ses amis et lui c'étaient des gosses. Et ce n’était pas normal que personne ne fasse rien pour les empêcher de mal tourner. Il travaillait d’arrache-pied sous les yeux de son père pour être dans les meilleurs et obtenu son diplôme à peine à vingt deux ans. Lui permettant de demander le secteur des enfants principalement. Déjà pourtant connu pour être un roc à l’époque, c’est à cette époque qu’il apprit le vrai sens de « monstruosité ». Qu’il eût envie de courir aux toilettes les plus proches pour vomir ses entrailles tellement cela lui retournait le ventre. Parfois, il essayait de parler à son père. De lui demander pourquoi les gens étaient comme cela. Pourquoi lui avait eu une enfance normale et les autres non ? C’était quoi cette blague de mauvais goût. Mais ces horreurs qu’il voyait tous les jours forgèrent son caractère et lui donnèrent la rage au ventre d’aider encore plus. C’était un bosseur et il était persuadé qu’il pourrait être utile. C’est après plus de trois ans dans le système qu’il passa le concours d’entrée dans la police. Une fois réussis, il commença son entraînement comme les autres. Encore une fois, il se battait bec et ongles pour avoir les meilleures notes, les meilleurs résultats. Toujours pour espérer avoir une place où il le désirait. Et il l’a eu son transfert dans la police des mineurs. C’était à force de coopération entre lui et cette police qu’il avait décidé de passer le pas après tout. Il voulait aller sur le terrain.
C'étaient des gens bien autour de lui. Des bons flics. Pour la plupart. Peu de corruptions dans ce secteur-là de la police. Bien que certains ne soient pas tout à fait honnêtes. Et il s’en méfiait comme de la peste, mais les preuves pour les faire couler étaient trop rares. Alors, il se concentrait sur les enfants. Et sur son boulot. De nature difficilement approchable et ayant un travail très prenant, il eut très peu d’histoires. Restant très secret sur le sujet. Et étant un sujet de taquinerie quotidienne de ses collègues.
Après avoir monté les échelons, après plusieurs années, les services plus haut placés prirent contact avec lui. On lui proposa un boulot plus qu’intéressant. Devenir agent de coordination, avec d’autres pour faire partie d’une grosse mission « coup de filet ». Le trafic d’humains étant de notoriété publique en Serbie, beaucoup de ces gens étaient envoyés à travers le monde. Et particulièrement aux States. Objectif de l’opération ? Faire échouer un gros transfert de personnes de toutes nationalités incluant des enfants et faire tomber cette branche de la mafia. Deux ans de boulots sans repos. Des allers-retours incessants, entre les États-Unis et la Serbie. N’en dormant presque plus. Jusqu’à la libération. La victoire ? Ce n’était qu’une bataille importante qui avait été gagnée. Il y avait beaucoup de boulot encore à faire. Il resta aux États-Unis afin de continuer à travailler avec les services s’occupants des victimes de ce trafic. Certains restants au pays, d’autres repartant d’où ils venaient. Il posa définitivement ses bagages chez l’oncle Sam après le décès prématuré de son père. Crise cardiaque. Il avait toujours eu un cœur fragile. C’était deux ans avant l’apocalypse. Et la même année où il rencontra Jézabel. C'était une petite de deux ans, abandonnée par ses parents inconnus dès sa naissance dans les services sociaux. Vladimir a toujours eu de l'affection pour tous les cas qu'il a traités, mais elle... Dès qu'il a eu son dossier entre les mains, il a su qu'elle ne le laisserait pas indifférent. Peut-être à cause de son handicape, peut-être à cause de ses grands yeux pétillants de douceur. Il ne le sait toujours pas. Mais dès leur première rencontre, un lien se créa immédiatement entre eux. La semaine suivante, il acheta un livre sur le langage des signes.
+ and then there's today : L’évacuation, la panique, les zones de quarantaine… Il en a un souvenir à la fois très net et très lointain. Les émeutes, la loi du plus fort reprenait sa place. Il fallait sortir de la ville. Et il avait un mauvais pressentiment sur tout ça. Son réflexe fut d’aller à l’orphelinat où Jézabel se trouvait pour aider à évacuer les enfants. Cela a marché, pour un temps en tout cas. Avant que la folie ne prenne les derniers humains. La maison Blanche n’était plus. Les pays non plus. Il fallait maintenant fuir. Vladimir emporta Jézabel dans ses bras avant de disparaître le plus loin possible des grandes villes. Comme vous l’avez compris, l’enfant qu’il tenait fermement tout contre lui n’était en rien relié à lui par le sang, mais il la présentait comme sa fille. Tout cela n’avait plus d’importance maintenant. Peu importe la famille, les amitiés et les rancœurs. Il n’y avait que la survie à présent. Et comment éduquer une enfant dans un monde pareil ? Après un mois passé seul avec la petite, il rejoint un petit groupe d’une dizaine de personnes. Des gens encore tout à fait saints d’esprits, et il fallut peu de temps pour rester de manière permanente avec ce petit groupe.
Deux ans. Avant qu’un groupe trop important de rôdeurs ne leur tombe dessus. Beaucoup trop pour combattre, la seule chance : la fuite. Il réussit à s’en sortir avec la petite accrochée à son dos et avec Kate, une gosse d’une vingtaine d’années. Ce n’est qu’après avoir distancé le groupe de rôdeurs, se posant enfin à l’abri dans une vieille cabane abandonnée que le Serbe comprit que la jeune femme était foutue. Une énorme morsure sur l’avant-bras. Elle le suppliait de le tuer, elle ne voulait pas devenir comme eux. N’être un danger pour personne. Kate lui offrit son pistolet muni d’un silencieux pour faire le travail. Tout comme la peluche qu’elle trainait partout dans son sac avec elle, mais pour l’enfant. Il pouvait bien lui offrir ça, une belle mort. Il lui tira une balle dans la tête en gardant. Jézabel tout contre lui pendant que Jézabel pleurait contre sa poitrine en tenant l’ours en peluche. Ce fut la dernière fois qu’ils furent membres d’un même groupe.
Enfin, c'est ce que croyait Vladimir en passant pour la première fois tout seul, livré à lui-même avec une gamine dans les bras. Pendant plusieurs semaines. Jusqu'à ce qu'ils tombent sur un petit groupe de chasseur appartenant à un groupe. Parmi eux, il reconnut un homme. Qu'il pouvait qualifier d'allié, d'ami. Il avait finalement retrouvé quelqu'un. Après une discussion avec lui et un échange de politesses avec ceux qui l'accompagnaient, ils suivirent ce nouveau groupe. Après avoir retrouvé une partie du groupe duquel ils avaient fait partie dans ce nouveau, ces derniers se portant garant pour lui; ils furent accepter dans cette nouvelle famille. Et vous savez le plus beau ? Ils y sont restés pendant plus de trois ans. Ils n'étaient pas nombreux, une petite troupe sympa. Parfois des gens partaient, d'autres arrivaient. Ce n'était pas la joie tous les jours, mais au moins il y avait un infirmier avec eux, un très bon chasseur aussi. Plus particulièrement, un pêcheur qui arrivait toujours à ramener un petit poisson ou deux pour quelques-uns. Ce n'était pas le paradis, mais après avoir vécu quelque temps dehors, Vladimir avait l'impression de s'en rapprocher. Et pourtant, il était loin d'être croyant.
Quatre mois. Quatre mois où Jézabel et lui sont sur la route. La petite est depuis un bon mois affaibli par leurs conditions de vie. Plus le temps passe, plus il craint pour sa vie. Il cherche un endroit. Et son groupe ? Disparu. Envolé. Massacré. Des pillards, puis les coups de feu avaient attiré des rôdeurs traînant dans les parages. Assez pour que ce soit la panique, perdre tout le monde en une nuit. Il avait fui, la petite solidement accrochée à son cou, la tenant fortement contre lui à courir sans trop savoir où aller jusqu'à trouver un endroit où se reposer. Avant de reprendre la route. Il fallait s'éloigner le plus possible, de peur que ce même groupe de pillards ne lui tombe dessus. Ils n'avaient rencontré personne pendant un long mois. Et puis quelques échanges avec d'autres solitaires ou des groupes de deux ou trois personnes pas plus. Avant de se séparer dans une méfiance commune à tous. Qui frapperait le premier ? Vladimir ne voulait pas en être. Alors après un échange, il se débrouillait toujours pour ne jamais recroiser les mêmes. Ou en tout cas essayait.
Il fallait trouver quelqu'un. Un groupe de confiance. Mais comment faire confiance après cinq années passées avec les mêmes gens ? L'enfer, c'est les autres hein. Les autres, c'est l'ennemie. Prêt à te sauter à la gueule pour tout te piquer. Mais il n'a plus le choix. Il commençait à craindre pour la vie de Jézabel. Il fallait trouver un groupe, un endroit bien pour elle. C'était son devoir. Son putain de job. Il avait signé à vie, au moment où il avait pris Jézabel dans ses bras en fuyant de l'orphelinat, il y a presque six ans de cela.
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 14:33
Coucou Vladimir, bienvenue parmi nous. Je tiens à dire que ton personnage pue la classe de fou et que nous sommes ravis que Bass t'ait recruté. En tous les cas, je te sens bien. N'hésite pas à venir sur la cb souvent des gens rôdent (comme les rôdeurs du coup...) tu y seras bien reçu BON COURAGE pour la suite de ta fiche
Bass Ferguson
Olympians + le monde qui est le mien
Hurlements : 1971
visage : Travis Fimmel
crédit : gaja & miss pie & malini
survit depuis le : 14/10/2016
capsules de troc : 2961
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 14:35
TOIIIIII Je t'aime, j'aime Vladichou ( ) qui a la classe, tellement ravie que tu ais cédé à mon harcèlement/tu nous rejoins
Comment je vais recruter ça avec le bordel d'Olympia moi maintenant bordel
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 14:37
Coucou toi (dès que je vois un slave, je ne peux m'empêcher de venir quémander un lien - si jamais ça t'intéresse )
Hâte d'en lire plus sur ce cher Vlad. Courage pour le reste de ta fiche
Elanor Barnes
Olympians + le monde qui est le mien
Hurlements : 1093
visage : emily kinney
crédit : blossom & crimson tiger & sign by ad astra
survit depuis le : 04/11/2016
capsules de troc : 3040
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 14:38
Non mais ce personnage ! Trop d'amour là. Bienvenue parmi nous
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 16:17
Bass Ferguson a écrit:
Comment je vais recruter ça avec le bordel d'Olympia moi maintenant bordel
Ça sent la recrue que je vais te piquer :marisa:
BIENVENUE VLADIMIR ! Je tiens à dire que je suis fan du perso et son parcours ! J'espère que tu vas t'éclater parmi nous !
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 16:23
*vient poster son accueil officiel*
BIENVENUUUUUUUUUUUUE
Bass Ferguson
Olympians + le monde qui est le mien
Hurlements : 1971
visage : Travis Fimmel
crédit : gaja & miss pie & malini
survit depuis le : 14/10/2016
capsules de troc : 2961
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 16:35
Malini Kapoor a écrit:
Bass Ferguson a écrit:
Comment je vais recruter ça avec le bordel d'Olympia moi maintenant bordel
Ça sent la recrue que je vais te piquer :marisa:
Rêve :marisa: Je me battrais
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 16:39
Et si on te dit qu'on aurait bien besoin d'un mec comme toi à Olympia pour être moins dans la merde la prochaine fois, ça passe ?
BIENVENUE AVEC CE PERSO DE FOU.
Vladimir Stanković
Olympians + le monde qui est le mien
Hurlements : 376
visage : Charlie Hunnam
crédit : Morrigan | EXORDIUM
survit depuis le : 02/11/2016
capsules de troc : 1336
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 17:00
Mais tellement d'amour par ici Merci à vous
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Ven 4 Nov - 17:40
J'AI OUBLIE DE TE DIRE BIENVENUE VLADOU !
Bienvenue bienvenue bienvenue !
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Sam 5 Nov - 0:43
Rolala ce personnage ! Bienvenu parmi nous
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Dim 6 Nov - 9:55
Bon jeu sur Influenza ! Félicitations. Tu vas bientôt toucher le fond, c'est bien.
Très chouette personnage, que je valide avec grand plaisir ! Bon jeu parmi nous, et amuse-toi bien !
Et te voilà officiellement validé/e ! Pour commencer, il te faut recenser ton avatar. On t'invite ensuite à revendiquer ton titretes responsabilités, si tu en as. Et, si ce n'est pas déjà fait, pense à remplir ton profil.
Pour bien démarrer, tu peux poster une fiche de liens (en pensant bien à la tenir à jour) et en demander aux autres, créer un scénario si tu as des besoins précis ou un pré-lien s'ils le sont moins. On rappelle qu'il faut impérativement poster un sujet d'activité et que les Wanderers doivent intégrer un groupe dans le mois qui suit leur validation.
Tu peux maintenant librement flooder et surtout RP.
Et tout le staff d'Influenza te souhaite un bon jeu.
INFLUENZA
Invité
Invité
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil Dim 6 Nov - 18:06
Bienvenue Vladimir. (mais si, mais si, on s'est croisés dans la CB.) On a flux de migrants de l'Est, là... Bon jeu parmi nous.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil
Vladimir C. Standović | I am being perfectly fucking civil