Fermeture définitive de Influenza ! far above the world (ft. wyatt) 1614057932 Un grand merci à tous pour ces moments de partage I love you
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 far above the world (ft. wyatt)

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MessageSujet: far above the world (ft. wyatt)   far above the world (ft. wyatt) EmptyDim 11 Mar - 21:26


wyatt charlie
«far above the wolrld Planet Earth is blue and there's nothing I can do»


25 JANVIER 2018 Assis à ses pieds, Major Tom jappe - une fois. La jument dont s'occupe Charlie jette un regard au beagle, avant de souffler bruyamment des naseaux - toisant le chien de toute sa hauteur. Puis, elle s'ébroue et donne un coup de sabot contre la porte du boxe - sûrement l'envie de se dégourdir les jambes. La rousse sourit, effleure l'encolure de la jument alezane tout en lui murmurant d'un ton amusé : « Ouais, moi aussi. » D'une main, elle tient son carnet - de l'autre, elle y note quelques observations. Pas grand-chose ne lui saute aux yeux quant à son comportement, si ce n'est sa fébrilité - mais beaucoup de chevaux le sont, ici. Il faut dire que le climat n'est pas toujours des plus calmes, et que les chevaux sont de véritables éponges à émotions - ils aspirent la peur et la tension comme un raz-de-marée emporte une maison de paille. C'est facile de les stresser - elle s'en est bien rendu compte au fil des années. Et puis, chaque cheval à son caractère aussi - tous ne réagissent pas pareil. Enfin, ça, c'est évident.
Charlie caressa une dernière fois la jument avant de s'éloigner - de là, elle finit par bâiller de tout son saoul, s'étirant au point de faire craquer son dos tandis que Major Tom la regardait faire d'un air curieux. Il ne comprenait pas toujours ce que faisait sa maîtresse - il était vrai que, des fois, elle avait des réactions étranges. Rangeant le carnet dans sa sacoche, la cadette Rosenberg passa alors une main sur son visage. Elle avait passé la journée à faire le tour des écuries et des étables, pour jeter un coup d'oeil au bétail dont le nombre baissait, et aux chevaux dont la santé leur important. Ils ne pouvaient pas se permettre de perdre leurs montures - elles étaient leur plus grand avantage, ici. « Tom. » fit la jeune femme, dans la direction du chien. Le beagle se redressa d'un bon et courut dans sa direction pendant qu'elle s'éloignait - de toute façon, qu'elle l'appelle ou non, il finissait toujours par la suivre. Un vrai pot-de-colle ! Mais personne n'était dupe : tous savaient que Charlie adorait qu'il la suive. Elle se sentait comme une canarde suivie par ses canetons.

A peine mit-elle un pied en dehors de l'étable que le vent glacé fit claquer ses cheveux dans le vent. Le nez enfoui dans une doudoune bleue sombre qu'elle avait traîné tout l'hiver et qui semblait aussi vieille que le monde, Charlie chercha un peu de chaleur. D'une main, elle replaça son bonnet - lui aussi en sale état, mais elle n'allait pas se plaindre - tout en continuant d'avancer vers le campement. Ses bottes en caoutchouc kaki étaient gelées elle aussi - mais elle n'était pas si mal lotie, en soit. Elle ne s'était plus plainte depuis longtemps, Charlie - au contraire, elle encaissait tout en silence maintenant. Avec une grande violence, elle chassait tout ce qui pouvait la faire redevenir l'ancienne elle - un peu trop violemment, peut-être. Il fallait dire que c'était sa plus grande peur - devenir un poids pour le groupe, qui avait tant fait pour elle. Quand elle s'était présentée au ranch, avec la mort aux trousses et le sang aux mains, elle s'était déjà vue enterrée. Elle avait goûté à la mort de très près, et s'était fermée à toute possibilité de revenir à une vie normale un jour - mais le ranch l'avait aidée. Et continuait encore de l'aider.
A côté d'elle, alors qu'ils approchaient du campement, Charlie sentit Major Tom s'agiter à côté d'elle - sans pour autant s'éloigner. Ses yeux étaient fixés sur une silhouette qu'elle ne distinguait pas encore - avant de la reconnaître, quelques secondes plus tard, avec un large sourire aux lèvres. « Hééééé l'ancêtre ! » fit-elle d'une voix assez forte pour que Wyatt puisse l'entendre, alors que son camarade canin fonçait dans sa direction en poussant des aboiements joyeux. Parfois, elle soupçonnait Major Tom de préférer Wyatt à elle - pour quelques caresses et un peu d'affection, il avait bien vite fait de changer de camp. Ce vendu. Surexcité comme jamais, le chien se mit à courir tout autour de son deuxième humain préféré (Charlie étant la première évidement), en proie à des zoomies comme ça lui arrivait parfois. « Il est dans sa période, fais pas attention. On dirait qu'il a eu le Diable dans le corps pendant toute la journée, je te raconte pas. » lança-t-elle à l'attention de son camarade, secouant légèrement une main dans les airs tandis qu'elle s'approchait.
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Wyatt E. Wooding
Riders + j'peux pas j'ai poney
Wyatt E. Wooding
Riders + j'peux pas j'ai poney
Hurlements : 1576
visage : Tom Hardy
crédit : avengedinchains & Anaphore
survit depuis le : 13/08/2017
capsules de troc : 4586

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MessageSujet: Re: far above the world (ft. wyatt)   far above the world (ft. wyatt) EmptyVen 23 Mar - 0:13


Far above the world
25 janvier 2018 | C.R. & W.W.

Il ferait son job, son travail et même son devoir. Il ferait tout ce qu’il faut pour sauver la veuve, l’orphelin et leur portée de chatons non-sevrés. Se casser le cul toute la journée, sous la flotte et sous l’ouragan, pour maintenir un ordre qui part à vaux-l’eau et dont un jour sur deux tout le monde semble se foutre. il le ferait, sans hésiter comme il se prendrait une balle pour ce con d’Abel et comme il essayait autrefois de sauver des gamines des gangs et des jeunes paumés jusqu’au cou pour un salaire de misère. Il le ferait. Mais ne comptaient pas sur lui pour économiser ses jurons, et le sel de ses râleries. Wyatt était connu pour pouvoir aussi bien siffloter durant un raid, lancer des blagues pas drôles au rôdeur qu’il décore de ses flèches et râler de tout son saoûl pendant quinze jours parce qu’un abruti a mal refermé un box. Wyatt avait une vie entière de sarcasme à écouler, mais il avait un coeur d’or et la capacité de voir n’importe quoi de positif. Le bien issu d’une vie de merde et d’un tas de cy-nisme jovial.

Et lorsque Wyatt avait fini de s’occuper de sa monture du raid d’aujourd’hui, il ne lui restait presque plus que les jurons au bord des lèvres et une liste de choses à faire long comme l’ego de Rhodes. Faire un rapport à Rhodes, vérifier que les quelques trouvailles étaient bien stockées, et surtout faire sa ronde personnelle, le tour des gardes avec un sens du devoir qui tenait du sacerdoce pour vérifier que tout allait bien. Il se sentait épuisé. Vladimir lui manquait, Vladimir lui manquait jusque dans sa chair, l’empreinte de son corps la seule berceuse qu’il acceptait. Bullet lui avait manqué toute la journée alors que Wyatt retournait à sa caravane pour chercher le pitbull qui avait volé son coeur il y a plus de dix ans. Le molosse semblait autant en manque du serbe que lui - à moins qu’il ne se fasse juste âgé et Wyatt le laissait garder la caravane, Eli, Silas et les jeunes chiens de plus en plus souvent ces dernières semaines. Tout particulièrement lorsqu’il faisait frisquet comme aujourd’hui. Perdre Bullet aux dents d’un zombie, ou d’une pneumonie qu’il aurait dû voir venir … cela le boufferait plus que tout les réseaux de pédophilie qu’il n’avait jamais eu l’occasion de démanteler.  

Alors oui, il pressait le pas pour vers le campement, certain qu’il était d’être rencontré à mi-chemin par son meil-leur ami lui fonçant dessus comme un bolide. Evidemment que lorsqu’il entend le son de quatre pattes galopant sur le sol de terre, il est aux aguets bien qu’en lieu et place d’un pitbull ce soit un modèle plus réduit et venant de la mauvaise direction qu’il voit courir - il sourit avant même que son cerveau enregistre l’information, il est pro-grammé comme ça. Wyatt ne relève la tête qu’en entendant des aboiements joyeux et c’est un sourire jusqu’aux oreilles qui revient sur son visage. Un sourire de gosse, alors qu’il s’agenouille par terre sans égard pour son pantalon dégueulasse Il roule exagérément des yeux, l’air de demander au ciel ce qu’il avait pu faire pour mériter d’être insulté de vieux à seulement trente-neuf ans… Qu’il portait bien en plus merde. Même si ce n’était que justice vu la facilité de Wyatt d’affecter à chaque habitant du ranch son propre surnom personnalité, tou-jours prononcé avec un minimum d’affection – Vladimir et Eli écopaient plus facilement de love et de sweetheart, tandis que les incompétents étaient des abrutis et jurons colorés. Charlie était parfois étrange, mais Wyatt était tout à fait capable de gérer ce niveau de nuisance sonore. Elle était du bon côté des surnoms.

Et Major Tom, encore plus alors que l’homme tend les mains essayant d’intercepter la petite masse poilue qui court autour de lui.Il finit par avoir son attention, suffisamment en tous cas pour le caresser avec vigueur. “- Hey salut toi… heyyy… good boy, good boy.. viens me voir.” Il tend de caresser au mieux Major qui frétille près de lui, tandis qu’il laisse Charlie les rejoindre. Il fait la moue et relève les yeux pour se moquer. ”- Il est dans sa période super-mignon tu veux dire ?” Il tentait de garder ses distances d’avec son petit ami en public pour garder sa crédibilité en tant que chef de la sécurité. Malheureusement, il aurait fallu lui dire avant que dès qu’il voyait un chien c’était déjà foutu, car oui, Wyatt Earp Woodinf, chef de la sécurité, large comme deux Charlie au niveau de la largeur de ses épaules, gazouillait d’un air complètement gaga auprès d’un chien excité. Paie ta crédibilité. A regrets, Wyatt se releva en soupirant, il gratte sa barbe pensivement.  “- J’ai vraiment besoin que tu me racontes, gamine. “ Il insiste avec un clin d’oeil. ” - Je vais chercher Bullet. Tu suis ?” Il lui fait signe de la tête, tentant discrètement d’effleurer la tête bondissante du Major à ses pieds.

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