Fermeture définitive de Influenza ! uncommon nonsense 1614057932 Un grand merci à tous pour ces moments de partage I love you
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 uncommon nonsense

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MessageSujet: uncommon nonsense   uncommon nonsense EmptySam 28 Jan - 19:40

Ses doigts sont fermement enlacés avec ceux de son frère, un geste supposé lui redonner une forme de courage avant l'entretien qui se profile au bout du chemin. Ils rentrent de mission et encore une fois, ils ont défié toutes les chances, ont suscité l'étonnement sur les visages qui ne pariaient pas sur leur réussite. Gail tente de paraître confiante, mais ses épaules s'affaissent de plus en plus à l'idée d'entrer dans cette salle et de se confronter encore à Marisa. Cette mission suicide, c'était un autre jeu meurtrier auquel s'adonnait la reine des lieux pour exterminer une menace que les Woodstock ont conscience d'être. Ils savent tous les deux qu'à chaque fois que la reine les envoie dehors, elle espère ne pas les revoir, et c'est sûrement pour pouvoir provoquer la déception que Gail se bat avec tant d'ardeur à l'extérieur.
Mais peu importe la force qu'elle déploie pour survivre, peu importe la confiance qui grandit en elle jour en jour, peu importe la conviction de plus en plus forte de devenir une jackal, il suffit d'un regard de Marisa Rosario pour lui glacer le sang et surtout pour effacer tout le travail que la jeune blonde fait sur elle. Il suffit d'un regard... Ces yeux qui scrutent, analysent, diminuent et moquent... Ce regard intraitable, paralysant et qui pourtant, suscite l'admiration collective. C'est peut-être bien là le plus grand malheur de Gail, elle rêverait de pouvoir détester Marisa, mais elle est réduite à l'envier.

"Ça va aller, fais pas cette tête." Gavin lui presse la main et elle lève les yeux vers son frère pour se gorger de cette vision. Le sourire confiant du plus jeune des Woodstock a souvent le son d'apaiser complètement l'aînée. Elle lui rend un hochement de tête entendu quand ils s'approchent de la salle du trône. Ses sbires les plus fidèles gardent évidemment l'entrée et dévoilent leur attirail important pour stopper le frère et la soeur dans leur lancée. "Marisa nous a envoyés en mission, nous sommes de retour pour lui dire que nous avons réussi." Gavin, a ce ton assuré, sa voix coule complètement sans trahir la moindre appréhension. Gail réalise que c'est parce qu'il n'en a aucune, il a l'air même de se réjouir d'être là, si proche d'elle. Toujours sans un mot, les gros bras s'effacent et les Woodstock s'aventurent dans l'entrée du supermarché abandonné, les yeux papillonant toujours sur les vestiges de la civilisation.
Les yeux rivés sur le sol, la jeune femme suit malgré son frère jusqu'à reconnaître l'allée qui mène droit vers le trône improvisé. Péniblement, elle avale sa salive et lève les yeux pour établir un contact avec la Rosario, pour se retrouver encore une fois renvoyée à l'état de néant. C'est l'effet qu'elle fait, surtout quand, comme Gail, on cherche à lui ressembler. Sa beauté est intacte, presque ridicule dans un lieu aussi sale et aussi ravagé. Un constat qui renvoie à la figure de la blonde tous les défauts qu'elle se comtpe depuis toujours. Elle se tortille, dans son treillis militaire deux fois trop grand pour elle et ceint maladroitement à sa taille par un lacet de chaussures, cherche des yeux un endroit où s'enfuir, pour ne pas vivre encore l'humiliation d'exister près de quelqu'un que tout le monde adule.

Secrètement, même si elle le trouve laid, Gail rêve de s'assoir sur ce trône.
"Marisa, on a fait tout ce que tu as demandé. On a eu ce que tu voulais également. Si tu as encore besoin de nous, on te servira avec plaisir." La jeune blonde observe son frère du coin de l'oeil, remarque son air fasciné, ce qui a de quoi provoquer une pique d'agacement. Toute sa cour a l'air pendue à ses lèvres, et ça en rajoute à la couche d'indignation dont Gail se pare quand elle peut se plaindre en toute liberté. Ses sourcils se froncent légèrement alors qu'elle lâche la main de son frère pour croiser ses bras contre sa poitrine.
"Ça devient n'importe quoi dehors, Marisa. Bientôt il sera impossible d'échapper aux hordes." D'un coup, elle sent tous les regards surpris qui se tournent vers elle, la Woodstock d'ordinaire plus docile que ça. Est-ce que c'était un acte de défiance ?
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MessageSujet: Re: uncommon nonsense   uncommon nonsense EmptyJeu 2 Fév - 16:33

Marisa ne s’interrompt pas vraiment dans sa discussion (même si elle est particulièrement chiante) quand elle voit la fratrie Woodstock approcher. Le changement d’humeur est subtil, tourné uniquement vers Gail et Gavin qui osent, encore une fois, remonter cette allée alors qu’ils auraient dû crever. Sa mâchoire se contracte légèrement, son sourire se fige en un rictus froid et ses yeux ne dispensent que du mépris envers les deux êtres qui remontent l’allée, main dans la main. Les billes de Marisa fixent Gail, de bas en haut, de haut en bas. Qu’est-ce que Gabriel peut bien trouver à cette gamine insipide ? Consciente de l’effet qu’elle fait toujours, de l’impression qu’elle laisse tout le temps à Gail, Marisa s’emure dans sa superbe et écrase avec plaisir la créature chétive et craintive qui se tient devant elle. Que fait-elle là ? . C’est la question qui tourne sans cesse dans l’esprit de la reine du Mall, alors que contre toute attente, ils reviennent, elle revient de cette mission qu’elle leu ra confié. Si elle est honnête, Marisa ne se souvient même pas de ce qu’elle leur a demandé. Elle se souvient juste avoir espéré, que cette fois, ils ne reviennent pas, ou que seul l’un d’entre eux retournent à Stonebriar. « Marisa, on a fait tout ce que tu as demandé. On a eu ce que tu voulais également. Si tu as encore besoin de nous, on te servira avec plaisir. » Volontairement, Marisa déporte et concentre son attention uniquement sur le frère. Son sourire froid se fond en un autre, beaucoup chaud et agréable et sa voix coule d’un ton qu’elle ne réserve que pour Gavin. « Merci, Gavin. J’apprécie beaucoup tout ce que tu fais pour moi. » Le choix des mots n’a rien d’anodin, Marisa prend un plaisir qu’elle ne cache même pas à écraser Gail en jouant avec son frère. Marisa, loin d’être idiote, remarque les regards que lui jette Gavin, ses attitudes, son envie de bien faire et de se faire remarquer. Alors, elle agite chaque fois l’espoir d’une récompense, de reconnaissance. Et Gavin plonge chaque fois un peu plus. Marisa ne promet jamais rien, elle insinue juste. Et prend plaisir à séparer le frère et la sœur Woodstock chaque fois un peu plus. Plus que l’air ravi de Gavin, c’est celui fermé de Gail qui la comble le plus.

« Ça devient n'importe quoi dehors, Marisa. Bientôt il sera impossible d'échapper aux hordes. » Le changement d’ambiance se fait brutal. Marisa tourne son regard vers l’aînée Woodstock. Un sale rictus dresse ses lèvres sur son visage. Un sourire chaud, agréable et doux, que seul le regard qu’elle lance à Gail contredit. Il est au contraire chargé de mépris, de haine même. « Et donc ? … Tu as besoin que je te prenne par la main pour t’occuper du problème ? Tu veux peut-être que je te le demande gentiment ? Gail, s’il te plait, petit ange, veux-tu bien t’occuper de ta sécurité et de celle de tous tes camarades en t’occupant de la horde ? » La voix cuivre de Marisa coule, mielleuse et en même temps tranchante. Quelques rires moqueurs s’échappent de la cour de la reine tandis que tout le monde se focalise sur les deux femmes et leur face à face. L’animosité de Marisa envers Gail n’est un secret pour personne. La protection qu’offre Gabriel à la fratrie non plus. Mais par loyauté, par solidarité, on tend à prendre parti pour la Reine de Stonebriar. Parce que les Jackals le savent, les deux morveux n’auraient jamais dû sortir de l’aire de jeux. Le traitement que leur réserve Marisa n’est qu’une faible contrepartie justifiée. Pour Marisa, c’est encore différent. C’est pire. Gabriel autorise des étrangers à entrer dans leur cercle. C’est grave. C’est dramatique. Elle sait la plaie que ça a causé chez lui quand Arthur a trahi, et Marisa s’est juré que plus jamais il ne serait blessé. On peut appeler ça l’instinct ou le flaire : les Woodstock puent le danger pour les Rosario. Et il convient de les éradiquer le plus rapidement possible. Gabriel pourra se trouver un autre jouet tout aussi mignon que Gail Woodstock….
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MessageSujet: Re: uncommon nonsense   uncommon nonsense EmptyMer 8 Fév - 15:31

Elle est horripilante. Divinement et royalement horripilante. Voir tout le monde fondre d'admiration, à la recherche d'un geste grâcieux de sa part est d'autant plus agaçant et réveille chez Gail un élan de haine. Elle a toujours détesté les autres femmes. Celles qui la méprisent comme celles qui essaient de s'en faire une amie, celles qui mettent les standards de beauté trop haut, celles qui dénigrent leurs images, celles qui ne pensent qu'à l'amour ou qu'à l'argent et par-dessus tout, elle a toujours détesté les femmes qui ne méritent pas son frère. C'est-à-dire, toutes celles qui posent les yeux sur lui.
Gavin est tout ce qu'elle a, ce qui veut dire qu'elle ne le cédera jamais. Il faudra le lui arracher par la force. Et même là encore, elle serait capable de tout raser. Jouer avec son frère, c'est le meilleur moyen de réveiller tout ce qu'il y a de pire en elle. Tout ce qu'elle a enfoui dans ses presque trois décennies de vie et qui menace de sortir et de tout saccager chaque jour qu'elle passe dans les enfers de Stonebriar. Il y a quelque chose en elle, elle le sent. Une boule informe de sentiments et de pensées impurs qui s'agite depuis que l'apocalypse a commencé. Elle ne sait pas quand, mais un jour, tout va déborder et elle deviendra exactement la créature chaotique que beaucoup aimeraient qu'elle soit.

Malgré les rires moqueurs de sa cour et le sarcasme tranchant de Marisa, elle ne se démonte pas. Malgré le regard insistant de Gavin, son bras qu'il tend et qu'elle évite, elle reste debout, les bras fermement croisés contre sa poitrine, principalement motivée par cette haine vive et électrisante qui la traverse. "Tu sais bien ce que je veux dire. C'est pas une situation que quelques lunatiques adeptes de la gachette vont pouvoir régler en tirant dans le tas." Ils sont trop nombreux, et sortir s'est avéré une mission plus périlleuse encore qu'à l'ordinaire. Cette fois, elle avait vraiment cru y passer. Si rien n'était fait, si personne n'organisait une vraie croisade, les rôdeurs allaient finir par s'infiltrer dans le centre commercial, et les jackals seraient cernés. Et même s'ils finissaient par tenir, les réserves de nourriture ne suffiraient pas pour un tel siège. Les plus malins réussiraient à s'enfuir et les plus tétus finiraient par crever. Et voilà comment finiraient les fiers jackals, les soldats du chaos. "Ils sont à nos portes. Littéralement. L'arène déborde presque, le parking est infesté." Et personne n'agit, parce qu'elle, ne fait rien. Elle, ne paraît pas inquiétée alors les jackals la suivent. Gail se garde bien d'ajouter que cette confiance aveugle les mènera sûrement à la perte. Elle ne tient pas vraiment à mourir. Pas aujourd'hui. "Peut-être que je devrais en parler à Gabriel alors, il fe peut-être quelque chose." L'affront final, celui dont même elle est consciente qu'elle n'en reviendra pas entière. Son immunité est assurée, certes, mais elle peut être fragile face à la fureur de Marisa Rosario.
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MessageSujet: Re: uncommon nonsense   uncommon nonsense EmptyJeu 20 Avr - 12:12

Marisa savoure pleinement l’effet qu’elle a sur Gail, et admire ce joli visage et le panel d’expressions qui le traverse. Un moment, même, elle admire cette fille qui ose lui tenir tête, repousser ce frère qu’elle aime tant et s’affirmer. Un instant, elle entrevoit ce que Gabriel a perçu chez elle, chez eux, et elle décide que ça lui déplait. La reine sait parfaitement ce qu’elle provoque en Gail et sait comment l’attiser : elle a des années derrière elle de provocation, de chantage odieux et de manipulation. C’est ce qu’il fallait bien pour survivre tout ce temps loin de Gabriel : s’inventer une réalité dans laquelle il est plaisant d’évoluer. Marisa sait comment faire pour s’agréger une cour de fidèles tous plus loyaux les uns que les autres à ses attitudes, ses mots, sa présence. Et malgré les mots de la gamine, malgré son attitude, malgré l’envie débordante de lui arracher le cœur immédiatement, Marisa infléchit sa colère, range sa rage et se contente d’un sourire froid pour qui sait le déchiffrer et d’un ton mordant. « Peut-être souhaites-tu que nous allions trouver Gabriel ? Tu pourras lui expliquer toi-même ton point de vue. D’ailleurs, tu devrais faire ça ! Pendant ce temps, Gavin et moi allons nous occuper de ce problème que visiblement tu n’es pas capable de prendre en main ! » Le rictus est odieux, le regard la défie. Va, petite, va trouver mon frère et laisse ton imagination cavaler au sujet d’un Gavin qui ne voit que moi. Marisa envisage même de sacrifier le frère pour mieux atteindre la sœur. Seul la pensée de Gabriel retient sa main : la peur, la terrible et sourde peur que Gabriel ne lui pardonne pas lui suffit à ne pas passer à l’acte. C’est ce qu’ils font, les Woodstock, et ce que le roi refuse de voir et d’admettre. Le doute s’insinue comme le pire des poisons, comme la pire des tortures ; d’une façon bien différente d’Arthur. Marisa n’a pas eu son mot à dire, Gabriel les a choisis, l’a choisie elle sans laisser de choix à sa reine.

Marisa se lève brutalement de son trône et s’avance vers les Woodstock, se plante devant Gail pour couler un regard doux à Gavin. La main se lève et caresse doucement la joue de la blonde, avant de tirer sa tête vers elle. Les mots qu’elle déverse, seule Gail peut les entendre. « Tu vis parce que je le bien, ne l’oublie jamais. Gabriel pourrait faire sans toi et se trouver un nouveau jouet. Tu vis, parce que pour une raison qui m’échappe, il croit que tu es capable. Peut-être devrions-nous lui montrer à quel point tu ne l’es pas vraiment ? Lui expliquer que tu es incapable de régler cette histoire de rôdeurs, incapable de prendre l’initiative, incapable de te passer de sa protection pour survivre ici, incapable de devenir enfin celle qu'il voit en toi ? Crois-tu que je dois lui montrer à quel point tu es un poids mort ? » Gabriel ne l’écouterait pas, peut-être même qu’ils se disputerait, mais cela… cela Gail ne le sait pas. Comme tous, elle ne voit probablement que l’amour et la passion qui uni les deux Rosario. C’est d’ailleurs ce qui retient Marisa véritablement. Mais ça, Gail n’a pas à le savoir, c’est mieux si elle se persuade que Gabriel pourrait pardonner à Marisa qu’elle lui retire ses jouets.

Elle se détourne finalement, attrape une machette rouillée et enfile ses deux coutelas à sa ceinture. « Nous y allons, Gavin ? »
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MessageSujet: Re: uncommon nonsense   uncommon nonsense EmptyLun 8 Mai - 2:21

La main qui court le long de sa joue ne la dupe pas. Dans ce lieu terrible, il ne s'agit jamais d'un geste de tendresse mais plutôt d'une marque de domination. C'est condescendant et humiliant, mais Gail n'a pas le temps de se défiler, car Marisa reserre sa prise et se force un passage jusqu'à son oreille. Les mots qu'elle y déverse font évidemment mouche, cognent violemment l'estime fragile de la blonde. Encore une fois, on réduit son existence, on lui rapelle la seule raison pour laquelle on ne l'a pas encore brisée en deux : parce qu'elle est dans les bonnes grâces du roi.
Elle est sous la protection de Gabriel Rosario, et si elle n'est pas certaine parfois de la perennité de cet engagement, elle sait néanmoins que c'est un point noir dans la vie royale de Marisa. Ses mots, peut-être qu'ils sont vrais, mais il existe une maigre chance pour qu'ils ne soient que de la poudre aux yeux. Et elle s'accroche à cette maigre chance, se rappelle les quelques moments grapillés avec Gabriel, la façon qu'il avait d'apparaître toujours au moment de la secourir, comme un deus ex machina. Ce sont ses diverses interventions qui ont réussi à rendre le sommeil à l'aînée des Woodstock. Elle était peut-être un jouet, le sujet d'une expérience sociale, mais elle n'était pas dispensable. Alors quand Marisa lâche enfin sa prise, Gail parvient à lever le menton malgré son expression défaite. Oui, elle doute. Oui, elle prend de gros risques sur une simple impression. Oui, elle risque de tomber de haut, de bien haut – peut-être du toit duquel Marisa va finir par la jeter – mais elle lève le menton, parvient à rassembler encore quelques efforts de subordination.

Et la voix que la reine prend pour s'adresser à Gavin ne fait que renforcer ce sentiment. Ces roucoulements sonnent faux, mais le frère Woodstock les attendait depuis si longtemps qu'il pourrait se laisser duper. Pourrait. Elle a beau chanter le chant des sirènes, il lui reste le regard déterminé de sa soeur pour résiter. Ça avait toujours été eux deux avant le reste du monde, et même si la situation ne lui plaisait pas, il ne pouvait se résoudre à laisser sa soeur là, seule face à une énième humiliation.
Rien que de le voir hésiter, ça redonne un peu d'aplomb à la blonde. Sa voix tremble encore d'abord, puis gagne en assurance à mesure qu'elle vide son sac. "Tu crois que ta machette et tes petits couteaux vont régler le problème ? Tu ne nous écoutes pas. Marisa, c'est pas en essayant de jouer les cowboys chacun dans son coin qu'on va éradiquer le problème. Va voir l'arène, jette un coup d'oeil à l'extérieur, c'est une marée grouillante. Peut-être que ce que les gens attendent, c'est pas que j'aille me jeter dans la gueule du loup, mais plutôt une injonction de la personne qu'ils respectent ? Tu penses qu'on devrait prendre des initiatives sans te consulter ? Et qu'est-ce qui va arriver quand les autres vont voir que c'est pas toi qui lances des campagnes pour garder le centre commercial ?"

La question reste en suspens, tout comme son souffle qui s'arrête alors qu'elle sent venir la punition évidente réservée à ceux qui dépassent les bornes avec Marisa Rosario.
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MessageSujet: Re: uncommon nonsense   uncommon nonsense EmptyMer 14 Juin - 22:43

RP ABANDONNE.
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MessageSujet: Re: uncommon nonsense   uncommon nonsense Empty

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