Fermeture définitive de Influenza ! the first cut is the deepest (caden) 1614057932 Un grand merci à tous pour ces moments de partage I love you
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 the first cut is the deepest (caden)

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MessageSujet: the first cut is the deepest (caden)   the first cut is the deepest (caden) EmptyMar 27 Sep - 14:29

Riley & Caden
« the first cut is the deepest »


L’obscurité venait de céder sa place au jour lorsque Riley émergea d’un sommeil sans rêve – ni cauchemar. Cette fois, elle ne s’était pas réveillée en sursaut après la vision de son fils devenu rôdeur. Visiblement, la brunette avait droit à un peu de répit, même si elle avait conscience qu’il n’était que temporaire. Quoi qu’il en soit, elle se sentait enfin reposée et prête à attaquer une nouvelle journée. Après quelques étirements de muscles depuis son lit, Riley se leva et passa à la salle de bains. Bientôt, elle fut douchée et habillée. Pour la bonne forme – bien qu’ils soient au courant depuis la veille – elle laissa un petit mot à ses colocataires sur la table de la cuisine. « En route pour le ranch comme prévu. De retour ce soir. Soyez sages ! » En effet, aujourd’hui, Riley devait se rendre chez les Rhodes afin de savoir s’ils avaient besoin de quelque chose, et éventuellement mettre en place un nouvel échange. En réalité, la négociatrice avait surtout hâte d’arriver pour passer du temps avec son amie Jenna. Elle adorait Olympia et se sentait vraiment à l’aise avec ses habitants, mais parfois, Lee ressentait le besoin de s’éloigner un peu, de voir autre chose, de discuter avec d’autres gens. Et que demander de mieux qu’une ancienne amie d’adolescence, pour partager de nombreux souvenirs ?

Une dizaine de minutes plus tard, Riley se trouvait dans le petit pré de Black et achevait de le harnacher. Son étalon piaffait d’impatience : il connaissait leur destination, car jamais elle ne le montait aussi tôt pour une simple promenade aux alentours. « Tu as hâte, pas vrai ? Je te comprends, moi aussi. Je suis désolée de ne pas avoir trouvé du temps pour qu’on se balade ces derniers jours. Mais on va se rattraper, je te promets que tu vas pouvoir te défouler ! » Lee lui caressa l’encolure, mit un pied à l’étrier et poussa sur ses jambes. Une fois installée, elle régla la sangle de la selle et il fut temps pour les deux acolytes de prendre la route. Elle aurait préféré voyager à découvert pour ne pas se laisser surprendre par des rôdeurs, mais de deux maux, Riley avait choisi le moindre. Car il y avait pire que de rencontrer ces créatures d’apocalypse : croiser le chemin des Jackals. La brunette se sentait plus à même de se défendre face aux premiers, par conséquent, elle se servait du couvert des arbres pour aller jusque chez les Rhodes. Une façon comme une autre d’éviter un maximum les illuminés du coin, qui semblaient mettre un point d’honneur à enlever et torturer leurs pairs.

Jusque-là, tout s’était bien passé. Malheureusement, il suffisait d’une fois et aujourd’hui, la malchance avait décidé de s’abattre sur Riley. Alors qu’elle s’était arrêtée à un point d’eau afin que Black puisse s’abreuver, un rôdeur émergea d’un bosquet situé à un mètre seulement du duo. Surpris, paniqué, l’étalon fit un écart et partit au triple galop. Ce fut uniquement grâce à son expérience que la brunette évita une lourde chute. Aplatie sur l’encolure de Black pour ne pas se prendre les branches qui cinglaient près d’elle, Riley tenta de le maîtriser en tirant sur les rênes et en lui parlant. Elle ne voyait absolument rien à part les arbres qui défilaient à une vitesse fulgurante. Alors qu’elle essayait de regarder droit devant, quelque chose lui brûla la joue et lui arracha un cri de douleur. Sans doute un buisson épineux ou un truc du même genre. « BLACK, ARRÊTE, TOUT VA BIEN ! TOUT VA BIEN ! SHHH ! » L’animal ne ralentit pas. Puis, soudain, un hennissement. Par la force des choses, l’étalon stoppa sa course folle. Riley descendit pour voir comment il allait et découvrit une large entaille sur son épaule gauche. Le sang coulait le long de la jambe. Cela semblait assez profond, Black avait besoin de soins le plus rapidement possible. Consciente que cette situation pouvait vite attirer les rôdeurs du coin, Lee ne s’attarda pas sur sa propre blessure à la joue : elle fit passer les rênes du cheval par-dessus sa tête et tous deux repartirent, en marchant – et en boitant, espérant ne pas faire de mauvaise rencontre jusqu’au ranch…

Sur place, les gardes eurent tôt fait de reconnaître Riley et la laissèrent entrer. Ils lui proposèrent d’emmener Black aux écuries pendant qu’elle allait soigner sa joue, mais la jeune femme refusa catégoriquement. Hors de question de laisser sa monture. Ainsi, elle s’engagea dans les grands bâtiments où logeaient les chevaux du clan, espérant trouver l’homme qui saurait la rassurer sur l’état de Black et, surtout, s’occuper de sa vilaine entaille. « Caden ? » appela-t-elle après avoir attaché son cheval pour éviter de le faire marcher inutilement. Elle passa la tête dans l’une des écuries. « Caden, tu es là ? C’est Riley. J’ai besoin de ton aide… »
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MessageSujet: Re: the first cut is the deepest (caden)   the first cut is the deepest (caden) EmptyMar 11 Oct - 11:04


Caden faisait son tour d’horizon quand il entendit les bruits caractéristiques d’un cheval qui approchait. Il fut relativement surpris à partir du moment où il était certain qu’il venait d’inspecter tous les chevaux. De plus, il avait spécialement demandé à ce qu’aucune bête ne soit prise sans son consentement afin qu’il n’en manque aucune. Il fut encore plus surpris de découvrir Riley dans l’embrasure de ce qui était presque sa seconde maison. Il jeta un regard surpris vers elle comme s’il la voyait pour la première fois. Comme toujours sa beauté était un peu saisissante. Comme si on pouvait la voir tous les jours et ne jamais s’y habituer parfaitement. Son charme n’était en rien froissé par les traits soucieux de son visage mais le sang qui coulait le long de son visage lui paraissait contre-nature. Sans réfléchir plus, il s’approcha à sa rencontre.

« Bon dieu Riley tu es blessé » rouspéta-t-il en s’approchant pour en constater l’importance. La blessure était relativement profonde. Il aperçut Black attaché dans un coin et compris que quelque chose de pas terrible venait d’arriver. Il lui attrapa le poignet fermement mais avec une poigne douce. « On va panser ta plaie d’abord parce que tu dégoulines dans tout l’écurie là. » Il savait qu’elle voudrait protester et lui dire que c’était Black qui primait mais il la prit de court alors qu’il la faisait asseoir. « Je suis le premier à préférer les chevaux aux gens mais tu fais exception à cette règle alors ne râle pas. » Il la grondait gentiment, il était habitué à la voir depuis qu’elle était toute jeune. Il n’y avait jamais fait particulièrement attention car elle était une amie de Jenna, donc plus jeune, mais il avait réalisé bien plus tard qu’il avait dû être son premier crush d’adolescente.  Il attrapa le désinfectant qu’il colla sur la joue de la jeune femme avec douceur et expérience. Soigner les humains ça ressemblait un peu à soigner les chevaux. Dans un certain sens, c’était même plus facile car l’humain pouvait communiquer et expliquer pourquoi il avait mal. Pendant qu’il s’occupait d’elle, passant ses mains sur son visage pour le maintenir afin de s’occuper de la plaie, il lui demanda. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ? » Il était calme et méticuleux.  Lorsqu’on était un praticien de santé, on s’habituait à l’urgence. On pouvait sembler froid ou désintéressé parfois mais en réalité on devenait ainsi car justement on se souciait des autres. Le bon médecin n’est pas celui qui pleure avec compassion, le bon médecin c’est celui qui sait faire preuve d’empathie mais qui reste rationnel capable de faire son travail en toutes circonstances.

Il observa la plaie, elle ne lui paraissait pas nécessiter qu’on mette des points de suture mais elle était très longue alors elle avait maculé complètement la joue de la jeune femme de rouge. Ça avait pris un peu plus de tmeps que prévu de s’occuper de cela. Il avait senti sous ses doigts l’impatience de la brune monter crescendo. Il s’était même demandé si elle n’allait pas finir par s’enfuir en lui foutant un poing mémorable, le menaçant ensuite d’une arme pour qu’elle s’occupe de la bête. Il rigola intérieurement de cette pensée bizarre qui ne coïncidait pas avec ce qu’il se rappelait de Riley. Cependant, avec cette apocalypse tout le monde avait bien changé. Une fois qu’il eut fini de bander la demoiselle, il se tourna vers le cheval. Ses doigts passèrent dans l’encolure encore chaude de l’animal. Il était en souffrance, c’était évident. Il  se pencha pour observer la plaie et fit une légère grimace. Il garda le silence un moment. La coupure était à proximité d’un os avec un degré de profondeur qui permettait de l’apercevoir. Ce devait être excessivement douloureux. Les animaux avaient une capacité de résilience certainement plus forte que celle de l’humain. Il en fut une fois de plus fasciné.

« Il est à jour dans ses vaccins ? » Déjà le cheval s’agitait quand Caden se penchait pour effleurer les rebords de la blessure. « Il va falloir que tu m’aides si tu veux qu’on soigne Black. Il ne va pas aimer ce qu’on va devoir faire. »
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MessageSujet: Re: the first cut is the deepest (caden)   the first cut is the deepest (caden) EmptyDim 16 Oct - 15:25

De nombreuses interrogations tournaient dans sa tête alors que la jeune femme cherchait le vétérinaire du ranch – le seul et unique en qui elle avait confiance pour prendre soin son cheval. Pourquoi ne répondait-il pas ? Se trouvait-il en dehors des écuries ? Et dans ce cas, combien de temps devrait-elle laisser Black seul pour tenter de mettre la main dessus ? Mais bientôt, tous ses doutes s’envolèrent. Caden venait de l’entendre et se rapprocha rapidement, comprenant sans doute l’urgence de la situation. Un immense soulagement envahit Riley, si puissant qu’elle dut se faire violence pour ne pas fondre en larmes dans les bras de Caden. Pourtant, elle ne vivait pas là son premier coup dur. Sans doute était-ce parce que Black souffrait d’une sérieuse blessure. Ceux qui connaissaient la profondeur de son lien avec ce cheval étaient rares. La plupart pensaient qu’elle l’aimait beaucoup, comme on aime un animal de compagnie. Mais c’était bien plus que cela : ils s’étaient mutuellement sauvé la vie. Riley avait trouvé ce magnifique étalon noir à un moment insupportable, à un moment où elle aurait préféré mourir plutôt que continuer à survivre dans un monde où plus rien ne la retenait. Il avait été sa bouée de sauvetage, l’empêchant par sa simple présence de sombrer et de se noyer. Aujourd’hui pourtant, Riley avait failli le perdre à jamais. Une raison amplement suffisante pour justifier son état de nerfs actuel…

Riley aurait voulu que Caden s’occupe de Black en premier. Sa propre entaille pouvait attendre. La douleur qu’elle ressentait devait être moindre comparée à celle de sa monture. Mais le vétérinaire insista avant même qu’elle n’ait eu l’occasion de protester. A contrecœur, la jeune Olympienne s’installa sur une botte de foin alors qu’il rassemblait de quoi la soigner. Lorsqu’il lui demanda ce qui s’était passé, elle esquissa aussitôt un sourire discret mais réel. Elle connaissait le principe de faire parler le patient pour qu’il se concentre sur tout sauf sur ce qu’on était en train de lui faire… Caden avait bien choisi son moment pour poser sa question, et cette prévenance la toucha. « On se trouvait dans les bois, on s’était arrêtés pour que Black puisse s’abreuver dans la rivière. Un rôdeur caché dans un bosquet est sorti juste à côté de nous. Black a eu peur, il a complètement paniqué et s’est emballé. J’ai réussi à me maintenir en selle mais… dans sa course folle, il s’est pris une branche basse, sans doute aussi épaisse que pointue, et il s’est entaillé l’épaule. » Elle plongea son regard brillant de larmes dans celui de Caden. « C’est comme ça que je l’ai trouvé, tu sais. J’ai entendu ses hennissements et quand je suis arrivée sur place, il était acculé dans un coin, entouré de plusieurs rôdeurs. C’était aussi vers un point d’eau en forêt… Il a du se revoir à ce moment-là, ça expliquerait pourquoi il a perdu ses moyens aussi vite. » Dire que Black les attendait, seul dans son coin, luttant silencieusement contre la douleur qui ne devait lui laisser aucun répit. Lee s’impatientait, elle s’apprêtait à hâter Caden quand il termina enfin et se dirigea vers l’étalon. « Merci, » lui souffla la brunette au moment où il passait une main sur l’encolure de l’animal.

Elle le laissa observer la plaie avec la plus grande des attentions, et hocha la tête quand il évoqua les vaccins. Sarah s’en était chargée. Bien que spécialisée dans les humains, elle avait quelques connaissances vétérinaires grâce auxquelles elle avait pu gérer ce côté-là. Les prochains mots de Caden, que Riley accueillit avec une boule au ventre, semblèrent toucher Black : comme s’il avait compris ce qui allait suivre, il se mit à piaffer, soudain agité. La cavalière tenta immédiatement de le rassurer. « Je ferai ce qu’il faudra, » assura Riley, pourtant dévorée par l’inquiétude autant que par l’appréhension. « Caden, » appela-t-elle ensuite, forçant ce dernier à se plonger dans son regard intense. « Je ne peux pas le perdre. Tu ne sais pas ce qu’il… »  …représente pour moi, voulut-elle exprimer, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge et à nouveau, elle sentit les larmes lui monter aux yeux. « Enfin je… Je ne peux pas, simplement. » Loin d’elle l’envie de lui mettre une telle pression, surtout qu’elle savait qu’il ferait son maximum et que si la blessure de Black s’infectait, il ne serait aucunement responsable. Mais elle n’avait pas pu s’empêcher d’exprimer cette terreur sourde qui l’enveloppait toute entière. Celle de voir celui qui avait tant fait pour elle, sans même le savoir, mourir.
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MessageSujet: Re: the first cut is the deepest (caden)   the first cut is the deepest (caden) EmptyMar 8 Nov - 12:19


Caden écoutait en hochant périodiquement la tête. Concentré, il analysait les propos de Riley. Il lui sourit pour la rassurer alors qu’il voyait bien que son angoisse augmentait. « Il n’est pas en danger de mort Riley. Simplement ça peut être très long à soigner. Tu devras sans doute aussi repartir à pied. » Il eut un air contrit. « Je suis désolé, je ne peux pas te prêter un cheval. Abel ne sera pas d’accord. » Il réfléchit un instant. Il n’appréciait pas de partir  dehors pour mener des raids ou autre mais il ne laisserait pas une jeune femme seule perdue. « Ne t’en fais pas, je vais te raccompagner et je ramènerais le cheval que tu as utilisé ensuite. Ce n’est pas demain que je mettrais ta vie en danger de façon aussi inconséquente. » Caden avait toujours été dévoué pour les gens qu’il aimait et qui lui rendait. Malheureusement pour lui, on n’en comptait pas beaucoup. Cela ne rendait son affection plus forte. A cet instant les grands yeux de Riley lui donnait l’impression qu’il devait la consoler. Il ne l’aurait pas touché pour l’étreindre de lui-même mais il posa une main chaude et compatissante sur son épaule. « Tout va bien se passer. Je suis le meilleur, tu n’as pas déjà oublié ? » sourit-il affectueux. Ses yeux redevinrent plus sévères et sérieux alors qu’il observait Black qui avait du mal à cacher son impatience.

Il reprit son masque  de professionnalisme en espérant que Riley comprenne bien l’étendue de la difficulté de la tâche qu’ils allaient devoir accomplir. La situation n’était clairement pas idéale, c’était impossible de garder le cabinet complètement hygiénique dans cette putain d’apocalypse. « Riley, il va falloir suturer la plaie. Malheureusement je n’ai plus d’anesthésiant local. C’est presque impossible d’en trouver pour les humains alors tu imagines bien que pour les chevaux, c’est miraculeux. J’ai ce qu’il faut pour désinfecter et pour suturer mais il ne va pas apprécier que je le fasse sans pouvoir l’endormir.  On va devoir lui attacher les pattes à des poteaux afin qu’il ne puisse pas bouger. Tu vas devoir le rassurer et lui parler. Tu vas le voir dans un état que tu ne lui as jamais connu. Ça va être excessivement difficile. Je sais que tu veux le faire mais je dois te prévenir. Ça ne sera pas une chose facile. » Ses yeux dardaient sur elle un regard particulièrement  intense. Il ne plaisantait jamais avec son métier. « Il faut également que tu saches que je n’ai pas la dose d’anti-inflammatoire pour dix jours. On  restreint déjà pour nos propres chevaux. Ainsi même si je la suture, il y a un risque d’infection. C’est pour cela que je te donnerais également du miel. Tu l’appliqueras tous les jours pendant quinze jours. Ça devrait aider. » Le blabla servait un peu à lui laisser le temps de relativiser ce à quoi elle allait assister et sa mission. Tout le monde n’était pas toujours prêt à agir dans l’urgence. Il savait également à quel point Riley tenait à son cheval. A cet instant, il avait besoin d’elle plus que jamais. Il y avait des risques car la plaie était située assez proche de l’os. Toutefois, il ne pensait pas qu’il fallait craindre une ostéomyélite. C’était envisageable mais il préféra ne pas parler de ce risque. Elle devait avoir déjà assez à relativiser. « Je dois appeler quelqu’un pour l’attacher ou tu vas le faire alors ? » La situation restait suffisamment pressante pour qu’il tente de lui rappeler qu’elle devait se remettre d’aplomb vite pour remplir son rôle de propriétaire le mieux possible.

S’engager à s’occuper d’un animal était une véritable responsabilité qui ne devait pas être pris à la légère. Cela sous-entendait s’en occuper qu’ils soient malades, qu’ils soient chiants ou qu’ils fassent des bêtises. On oubliait souvent assez vite le côté négatif de se proclamer maître de quelque chose de vivant. Un animal c’était presque comme prendre soin d’un enfant. Parfois c’était même plus dur car il ne vous dirait jamais où il avait mal lui.
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