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 escape game

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Adam Redfield
Olympians + le monde qui est le mien
Adam Redfield
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MessageSujet: escape game   escape game EmptyDim 10 Mar - 14:32


alex adam
« escape game »
juillet 2017


(right before the storm) On ne lui a pas laissé le choix de filer la queue entre les jambes avec le petit groupe de la Rosario et, malgré tout ce qu’il peut bien détester chez la frangine de l’autre fêlée, il déteste encore plus la situation ici. Non pas qu’il ne soit qu’un vulgaire couard à se pisser dessus d’appréhension du fait de ce qui menace de leur tomber dessus à tout instant, mais il n’en reste pas moins que l’homme ne veut pas se battre : il a déjà donné suffisamment de ce qu’il restait de son intégrité à ce maudit groupe, il a déjà participé suffisamment de fois à quelques activités qui hanteront ses nuits pour un long temps à venir.
Se battre contre d’anciens compagnons n’en fera pas partie.
Se rendre non plus : l’option ne lui paraît pas plus enviable, et il n’est guère convaincu qu’on réserve un sort favorable à quelqu’un arborant le label TRAÎTRE gravé au milieu du front.
Adam a peur, c’est humain comme réflexe, parce qu’il ne veut pas mourir. Pas ici, définitivement pas de cette manière… Il a bien une idée de ce qu’il lui reste à faire, mais tous ses compagnons sont sur le pied de guerre et la ruche bourdonne des activités de ses habitants occupés à disposer les pièges et à discourir des meilleures manières d’agir. Dans ces conditions, impossible de s’éclipser discrètement en ce qu’il lui faut, à lui aussi, mettre la main à la pâte.
Il va lui falloir prendre son mal en patience.




(chaos) Ils ont enfoncés les défenses de Stonebriar avec une facilité déconcertante et le vieux centre commercial, pourtant habitué des bagarres et de la zizanie, s’est vu en l’espace de quelques minutes devenir le théâtre d’un véritable champ de bataille mêlant humains et rôdeurs. Ça gueule, ça grogne et ça se bat dans tous les sens. Ça essaye de se tirer de là, aussi, et maintenant que tout le monde est bien trop occupé pour faire attention à son prochain, Adam comprend qu’il tient là sa seule chance de se tailler d’ici en bonne et due forme.
Seule maîtresse des lieux, l’anarchie est totale et c’est bon gré mal gré qu’il se voit bien obligé à la riposte. Faut dire que pour satisfaire à son objectif, l’homme n’a d’autre choix que celui de se glisser dans les premiers rangs et en plein dans le feu des combats. Le rez-de-chaussée est sans nul doute l’endroit le plus dangereux – la sombre réputation de l’arène de jeu des chacals n’a pas attendu les assaillants pour qu’on la décrive mortelle à tout inconscient trop téméraire – mais il lui faut bien le traverser pour atteindre les couloirs désaffectés et l’une des nombreuses sorties planquées du mall.




(the great escape) Il y a du sang sur sa lame, mais il ignore si cela vient d’un rôdeur ou d’un être humain, préfère d’ailleurs ne pas le savoir et essuie sommairement la machette contre son pantalon avant de la rengainer. Le calme, ici, paraît presque aberrant en comparaison à ce qu’il vient de laisser derrière lui. Il entend toujours le vacarme des combats – il n’est pas encore devenu sourd – mais plus il s’éloigne et plus celui-ci lui parvient comme au travers d’un voile épais. Pour autant, l’homme se garde bien de crier victoire trop tôt ni d’abandonner toute précaution élémentaire de déplacement. Ce n’est pas parce qu’il se croit seul qu’il l’est. Ce n’est pas parce qu’il n’y a aucune raison pour qu’on guette une sortie secrète du mall qu’il n’y aura personne pour le cueillir à la sortie.
Il s’efforce de ne pas penser à l’avenir parce qu’il n’a aucune idée de ce qu’il va faire ensuite. Avec une ironie amère, il ne peut s’empêcher de remarquer les grotesques similitudes entre sa situation présente et sa fuite du ranch, bien des années plus tôt. Est-ce qu’il va passer sa vie à fuir son passé ?
Adam pousse la porte à double battants sur laquelle une peinture écaillée indique encore de manière lisible authorized personnel only et s’engouffre, sitôt les panneaux refermés derrière lui, dans une pénombre quasi-totale. Avec un juron lancé à mi-voix, il allume sa petite lampe torche et un rai de lumière malade vient éclairer le sol jonché de débris devant lui. C’est la première fois qu’il vient ici, mais il a gravé avec précision toutes les indications dans sa caboche. Prendre le couloir perpendiculaire qui longe les locaux de surveillance. Et puis, l’avant dernière pièce au fond à gauche. This is it : son ticket pour l’évasion vers le grand jour.
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MessageSujet: Re: escape game   escape game EmptyMar 19 Mar - 18:00


alex adam
« escape game »
(JUILLET 2017) Comme papa dans maman, ils ont pénétré au travers des barricades sans que le mall ne semble avoir pâti de ne serait-ce qu’un sursaut d’stupeur. L’endroit les attendait. Non à la manière d’une piège guettant son gibier mais tel qu’un mort déjà résigné présumant d’sa condamnation. Ça se bagarre et ça résiste pourtant, c’est vrai. Pour la beauté du geste peut-être, suppose Alex qui, depuis son perchoir, surplombe l’arène débordée. Elle s’est infiltrée par l’une des souffleries trouant les toits, et puis s’en est venue s’percher là, sur l’une des poutrelles d’acier sarclant l’ossature du bâtiment. De là, lui est donné de dominer le gouffre hurlant sous ses semelles ; d’épier les manœuvres de chacun des camps ; de décocher, ci et là, quelques flèches pour harceler les chacals, jusqu’en leurs retranchements. Les salauds font peine à voir, en un sens. La chasseresse n’aime pas assister à l’agonie d’une bête, si peu estimable lui semble-t-elle être. Moins encore lorsque l’animal a fait l’objet d’ses traques acharnées, ces dernières années. Méritaient-ils de clamser là, acculés au fin fond d’leur terrier ? Sans doute que ce qui la trouble — et l’a toujours perturbé, d’ailleurs — c’est la ressemblance. Entre elle, et eux. Si le ranch l’avait jetée dehors, y’a de ça cinq piges, peut-être aurait-elle été d’ceux qui rampent ici en quête de leurs boyaux déversés, et là qui s’donnent à becquer aux macchabées... Peut-être. Alex ne versera pas pour autant la moindre larme sur leur sort : on n’a que ce qu’on mérite, en ce bas-monde où la survie est désormais moins affaire de chance que de supériorité, au sens primitif du terme. Elle n’ôte pas non plus son regard vigilant de la scène, du reste. C’est qu’elle en cherche un, parmi les charognards. Un connard qui, l’année précédente, lui a dérobé cette paire de couteaux, auxquels on la sait attachée comme à la prunelle de ses yeux. Hors de question, s’est-elle jurée, de décaniller sans les japonais — comme elle s’plaît à les nommer —, ou sans le scalp de l’enflure.

La cavalière s’impatiente depuis un certain temps déjà, lorsque surgissant dans la mêlée, la caboche rasée à blanc du gorille débagoule. Pas bien haut, mais râblé comme un limier, il se taille un chemin à coups d’épaules entre les rixes, batte de baseball au poing. Perplexe, elle l’escorte du regard avant de capter, à la mine crispée du type, qu’il se concentre — ça semble lui demander quelques efforts. Bientôt, elle repère l’objet de sa chasse : une silhouette, quant à elle fuselée, s’faufilant furtivement (autant que faire ce peut s’entend) vers ce qu’Alex estime être les ventrailles du building : un réseau de couloirs et tunnels à l’abandon. Le premier disparaît, et le second, sur ses talons, ne tardera pas à son tour à s’y couler... pourquoi ? L’éclaireuse fronce les sourcils, en exhumant son blueprint annoté hors de poche. L’index se plante sur l’entrée des coursives, et puis les dévale, jusqu’à buter contre le secteur désaffecté, naguère réservé aux employés d’entretien. Une planque ? Une issue ?

*

Sans trop d’encombres, Alex parvient, lampe-poche fourrée entre incisives, à ramper derechef le long des tubes d’aérations, bifurquant ainsi que l’indique le plan, aux intersections qui la conduisent jusqu’aux quartiers du personnel. Dessous, tout n’est que silence et nuit. Le doute s’insinue : a-t-elle manqué un embranchement ? Ont-ils été plus rapides ? Elle s’immobilise pour reprendre son souffle et vérifier son itinéraire. Soudain, un écho lui parvient ; sans atermoyer, la pisteuse étouffe sa torche dans le creux de sa main, avant de l’éteindre tout à fait. Alors, un second faisceau fait irruption dans la pièce obscure que son tuyau traverse. Figée, retenant jusqu’à sa respiration, elle scrute alors cette intrusion au travers de la grille ; sans toutefois rien en déceler d’autre que les contours. Pas le choix. Il faut sauter.

La claie, sur laquelle Alex fait peser tout son poids, cède sans difficulté — ni discrétion — et, de la canalisation éventrée, voilà qu’elle surgit dans le dos de sa proie qu’elle déséquilibre en lui tombant à moitié sur le râble. Ça n’est pas lui, bordel. Elle grogne en se jetant malgré tout sur l’inconnu pour le forcer à lui faire face. « Ad—? », qu’elle lui crache au visage, en le reconnaissant aussitôt, avant que de le contraindre au silence en écrasant une paume dégueulasse contre sa belle gueule. Car au-delà de la porte, la foulée pesante de son poursuivant se rapproche dangereusement. « C’est Hank... Il est avec toi... ? », elle s’enquiert alors, dans un murmure hâtif, sans lui offrir d’autre option pour répondre que d’opiner du chef, par la positive ou la négative. Derrière eux, les gongs grincent ; à contre-cœur, Alex délivre sa prise pour faucher, au carrelage, le manche d’un balais brisé. Hank apparaît à peine que le pieu s’enfonce déjà au travers de son crâne trop lisse. Aussitôt la meurtrière fait volte-face, brandissant désormais son arme improvisée en direction de la vieille connaissance. « Tu fuyais ? » Babines tordues en un rictus féroce, elle ajoute, non sans sarcasme : « Encore ?»
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MessageSujet: Re: escape game   escape game EmptySam 23 Mar - 22:43

alex adam
« escape game »
Ça lui tombe sur le dos sans crier gare et, bousculé par l’impulsion soudaine, il choit vers l’avant et va jusqu’à poser un genou à terre avant de récupérer le contrôle de son équilibre. Il se redresse en même temps qu’on l’empoigne, la main déjà en train de dégainer à nouveau l’arme tandis qu’il se retrouve dans la foulée face à son assaillant…e.
A peine les regards se croisent-ils qu’ils se reconnaissent aussitôt mais la surprise du fuyard n’a pas le temps de se transformer en paroles qu’il se retrouve bâillonné. Parce qu’il entend lui aussi les pas, il se fait sage sous la pogne de l’autre, jure intérieurement à défaut de pouvoir s’exprimer autrement. On l’a suivi ? La question d’Alex confirme l’idée et il répond par la négative, d’un simple mouvement de son visage.
Puis tout s’enchaîne en l’espace d’un battement de cils.

Dans le pâle rayon de sa lampe torche lâchée sous la surprise lors de l’irruption de la cavalière, Adam contemple le cadavre de Hank sans manifester la moindre compassion pour l’homme qui, une poignée de secondes plus tôt, respirait encore.
Et puis, il trouve rapidement un intérêt beaucoup plus vif à surveiller le pieu ensanglanté et la furie qui se tient à l’extrémité de ce dernier. Il a beau avoir les doigts serrés autour de sa propre lame, Alex a l’avantage de la portée, de l’expérience, et de la visible envie d’en découdre.
D’abord sans mot dire, il se contente de la contempler fixement sans la moindre idée de ce qu’il pourrait bien lui débiter pour justifier son comportement. Mentir, de toute façon, ne l’amènera pas bien loin… Quelques secondes passent après que les accents sarcastiques de la cavalière ont replongé la pièce dans le silence, quelques secondes aux allures d’une éternité sous le poids des deux paires d’yeux qui s’affrontent. Et puis Adam finit par casser son immobilité, hausse les épaules en affectant une nonchalance qu’il ne ressent pourtant pas vraiment vu la tension omniprésente. « Pris la main dans le sac, il rétorque enfin non sans une pointe d’amertume. Coupable de pas avoir envie de me battre contre vous. Contre toi, pour c’que ça vaut. » Il appuie les propos en rengainant la machette, assez au fait qu’il ne tient pas la moindre chance face à elle alors qu’il n’a même pas l’effet de surprise pour l’épauler – et serait-il en mesure de lui tenir tête dans un combat à la loyale qu’il n’en voudrait tout de même pas.
Il doute, cependant, que cela puisse jouer en sa faveur.

« Et toi alors, il demande à son tour. Tu fous quoi ici ? Tu t’assures que la vermine puisse pas quitter le navire avant qu’il coule ? » Un sourire sans joie vient ourler ses lèvres, appuyant la légère moquerie dans ses propos. A choisir, il préfère encore crever de ses mains qu’au beau milieu de l’arène des chacals. Quoiqu’à choisir, il préfère encore ne pas crever du tout, tout compte fait. « T’aurais pu le laisser me buter, ça t’aurait épargné la besogne et la perte de temps. »
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