#06 (04/17) mini intrigues

Gail et Gavin Woodstock contribuent largement à sauver Marisa Rosario des traîtres qui voulaient profiter de la confusion pour changer le pouvoir de mains. La tentative aura au moins eu le don d'être un électrochoc et tout Stonebriar s'agite à purger ses rangs des hésitants.  

Dès le mall nettoyé, on organise des procès d'intention puis, rassemblés, on se met à poursuivre les déserteurs. Eux sont simplement exécutés.

Après que le chaos a menacé sa vie, Marisa Rosario réorganise le camp sous son seul commandement, entourée d'une cour qui fait respecter ses ordres dans le reste du centre commercial. Dans le même temps, on se rapproche de la Carrière afin d'obtenir des matériaux et des vivres, en échange de quoi les Jackals doivent apprendre à être autre chose que de vulgaires pillards sanguinaires et dispersés.

Abel Rhodes a échappé de peu à un assassinat orchestré par Louis Bishop. Immédiatement emprisonné, les Riders cherchent à savoir si il a agit seul ou si une coalition s'est mise en place pour détruire le clan Rhodes. Chacun y va de sa petite réflexion.

Contrairement aux apparences, la violence ne coule pas dans les veines des Riders et Abel refuse d'en faire usage sur Bishop. Après plusieurs jours privé de nourriture et d'eau, le pauvre bougre n'ouvre toujours pas la bouche. Impossible de savoir qui, parmi les Riders, souhaite la mort d'Abel Rhodes. La question reste en suspens et tout le monde se tient sur ses gardes, suspicieux.

Des gardes sont postés devant la maison familiale et il est impossible d'entrer sans l'approbation d'Abel Rhodes.

On dirait bien que Peyton Yates ne parvient pas à garder l'ordre dans ses rangs. Les tensions entre Olympians et Riders ont failli gâcher les festivités de Pacques. La légère bagarre sans gravité qui a éclaté n'a pourtant pas suffit à arrêter les habitants de la ville qui ont repris leur chasse aux œufs comme si de rien n'était.

Néanmoins, malgré l'apparente bonne humeur générale, on murmure que Peyton Yates n'est peut-être plus la leader idéale pour la ville. Certains pensent plus ou moins fort qu'elle fait passer les intérêts des Riders avant les besoins des Olympians. Vaste fumisterie ? En tout cas, ce revirement de situation profitera sans doute à Elijah Weiss jusque là resté discret.

Il est temps pour Peyton Yates d'explorer d'autres possibilités et peut-être d'entamer des discussions avec la Mine qui semble vouloir aider (ou pas) la ville.

Les tensions entre la Mine et la Carrière ne semblent pas trouver de solutions durables. Les plus rancuniers campent leurs positions et ce ne sont pas les beaux discours d'Anita Jones qui vont tempérer les esprits. Néanmoins, l'incendie qui a ravagé une partie du marché a réussi à mettre tout le monde d'accord. L'entraide s'est organisée et Miners et Quarries ont réussi l'exploit de travailler main dans la main. Le feu maîtrisé, et les dégâts limités à une zone, il ne reste plus qu'à tout déblayer.

A la Carrière, la question se pose de savoir si l'incendie n'est que le fruit d'un malheureux hasard ou si quelqu'un en est responsable.

Les habitants de la Mine commencent à sincèrement douter d'Anita Jones qui, ses envolées lyriques mises à part, ne se comporte pas assez en leader selon eux. La grande patronne est trop distante et la récente quarantaine a échauffé les esprits.